Côte d’Ivoire: l’ANDE visite une cimenterie suite à des plaintes

L’Agence nationale de l’environnement (ANDE) a visité jeudi les installations du cimentier LafargeHolcim Côte d’Ivoire à la suite de plaintes de riverains sur la qualité de l’air dans la zone portuaire d’Abidjan.

Cette société, productrice du Ciment Bélier, qui a répondu favorablement aux sollicitations de l’Agence nationale de l’environnement, a accueilli le 11 février une délégation de cet organisme public pour échanger autour des mesures prises pour lutter contre les émanations de poussière. 

Les représentants de l’agence ont été notamment reçus par l’équipe de direction de l’entreprise dont le directeur d’usine M. Oswald Toupe, et la directrice de la communication et du développement durable Mme Philomène Tsoh, qui ont présenté les différentes mesures prises par la société pour limiter les émanations de poussière sur leur site.

Depuis quatre ans, l’entreprise a investi plusieurs centaines de millions de francs CFA dans un plan destiné à moderniser son usine et à améliorer l’impact environnemental. Le dernier investissement en date est la construction d’un énorme silo destiné à stocker du clinker, un constituant du ciment. 

Ce silo devrait contribuer à réduire de plus de 70% le trafic des camions du cimentier alloués au transport des matières premières. Il sert également de réservoir qui vise en outre à entreposer les produits cimentiers et à les conserver. 

La délégation a visité les installations de cette usine située sur le Boulevard du port d’Abidjan jusqu’au sommet du silo clinker, à près de 60 mètres au-dessus du sol. Au terme des échanges, les deux parties ont salué l’esprit collaboratif observé de part et d’autre.

Pour cette cimenterie, l’environnement fait partie intégrante des problématiques de Responsabilité sociétale d’entreprise (RSE). De ce fait, elle se veut volontaire et engagée à travailler de concert avec les autorités sur cette question.

La visite de l’Agence nationale de l’environnement (ANDE) concernait également des sites industriels situés sur le Boulevard du Port d’Abidjan. Elle fait suite à des plaintes de riverains sur la qualité de l’air dans la zone portuaire.

Filiale du groupe LafargeHolcim, leader mondial des matériaux de construction, l’entreprise opère sur le sol ivoirien avec plus de 280 points de vente et assure la distribution du ciment Bélier et de 400 autres références produits à travers son réseau de franchises Binastore. 

RCA : ouverture du procès de deux commandants anti-balaka devant la CPI

Alfred Yekatom Rombhot et Patrice-Edouard Ngaïssona sont tous deux accusés de crimes contre l’humanité et crimes de guerre commis lors de la troisième guerre civile de Centrafrique, de décembre 2013 à août 2014.

Le procès de deux miliciens centrafricains doit s’ouvrir le 16 février devant la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye.

Tout a commencé « aux premières heures du matin du 5 décembre 2013 », selon les accusations portées contre Patrice-Edouard Ngaïssona et Edouard Yekatom. Ce matin-là, « des éléments anti-balaka dirigés par Yekatom ont attaqué le marché de Boeing à Bangui, ciblant spécifiquement les magasins appartenant à des musulmans et tuant entre cinq et treize commerçants ». Pour l’accusation, la prise de la capitale centrafricaine fut « un point crucial pour la mise en place du plan stratégique » de la milice.

Ce plan stratégique, Patrice-Edouard Ngaïssona l’aurait élaboré avec le cercle proche de François Bozizé lors de réunions organisées en France et au Cameroun notamment. « Leur objectif était de prendre ou de reprendre le pouvoir en Centrafrique », lit-on dans la décision de confirmation des charges contre les deux accusés. En août 2012, les Seleka avaient conduit leurs premières attaques visant à renverser le pouvoir de Français Bozizé. En mars 2013, le général centrafricain est renversé. En exil, il prépare son retour.

Une auto-défense nourrie par la vengeance

Selon les charges, Patrice-Edouard Ngaïssona, riche homme d’affaires, aurait fourni les financements, préparé les attaques, procuré les munitions, donné les ordres. Mais pour le procureur, celui qui est alors aussi président de la Fédération centrafricaine de football en 2008, comme ses complices, « savaient qu’en mobilisant et en utilisant » des groupes d’auto-défense anti-balaka, « nourris par la vengeance et la haine des musulmans à cause des atrocités commises par la Seleka », cibleraient violemment la population civile musulmane. C’est ce que fait Alfred Yekatom, co-accusé, qui selon l’accusation, aurait pris la tête de 3 000 hommes, dont 200 ex-soldats et officiers des Forces armées centrafricaines (Faca). Les miliciens conduisent des représailles au cours d’une campagne ciblant « la population civile musulmane, selon l’accusation, sur base ethnique ou religieuse et perçue comme complice ou proche de la Seleka. »

La liste des crimes commis par les deux accusés est longue : meurtres, transferts forcés de population, privation de liberté, torture, persécution, traitement cruel, mutilation, attaque contre des bâtiments destinés à la religion, destruction de propriétés de l’adversaire, enrôlement d’enfants de moins de 15 ans. Patrice-Edouard Ngaïssona est aussi poursuivi pour viols. Le procureur a aussi voulu, trop tardivement, ajouter des charges de viols et d’esclavage sexuel contre Alfred Yekatom, mais les juges s’y sont opposés.

Rejet d’une partie des charges

L’affaire n’aura d’ailleurs pas démarré sous les meilleurs augures. En septembre 2019, les juges ont rejeté une partie des charges proposées par le procureur contre Patrice-Edouard Ngaïssona, pour des crimes commis dans certaines localités. Pour les magistrats, les éléments anti-balaka « avaient un haut degré d’autonomie opérationnelle », et dans certaines localités, M. Ngaïssona n’avait pas de contrôle sur leurs actions criminelles. L’une des difficultés de l’affaire est que « personne n’a d’expertise sur la coordination entre les mouvements anti-balaka », estime une source judiciaire, qui précise que « la seule fois où ils ont été coordonnés, c’est lorsqu’ils ont pris Bangui » en décembre 2013.Patrice-Edouard Ngaïssona devient alors ministre de la Jeunesse et des sports. Il est arrêté en janvier 2019, lors d’un voyage en France. Élu député en 2016, six mois après avoir été frappé de sanctions par les Nations unies, Alfred Yekatom a été arrêté en flagrant délit fin octobre 2018, dans l’enceinte même du Parlement, après avoir tiré deux coups de feu. « Il était longtemps considéré comme un trop petit poisson pour être intéressant, indique cette même source, mais son arrestation fut une opportunité » pour la Cour. Lors des premières audiences du procès, prévues du 16 au 18 février, le procureur étayera les preuves sur lesquels il entend s’appuyer dans les prochains mois. Le premier témoin devrait déposer mi-mars. Au total, l’accusation prévoit d’appeler quelques 150 témoins.

La procureure avait ouvert une enquête sur les crimes commis entre 2012 et 2014 à la demande du gouvernement centrafricain. Fatou Bensouda avait assurée, dès le départ, que des responsables des deux camps – anti-balaka et Seleka – seraient poursuivis. Le 24 janvier, Mahamat Saïd, commandant dans la Seleka, était transféré dans la prison de la CPI à La Haye.

G5 Sahel : le Sénégal invité au sommet

Le Sénégal prendra part mardi, en qualité de pays invité, à la séance élargie du Sommet du G5 Sahel qui s’ouvre ce lundi à N’Djamena, capitale du Tchad.La séance élargie, à laquelle le président Macky Sall assistera, vise à associer les pays et institutions partenaires du G5 Sahel à la recherche de solutions durables à la crise sécuritaire qui sévit dans l’espace sahélien, souligne le communiqué de la présidence parvenu à APA. 

Avec un effectif de 1305 soldats, le Sénégal est le deuxième pays contributeur de troupes à la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (Minusma). 

Le G5 Sahel est un cadre institutionnel de coordination et de suivi de la coopération régionale en matière de politiques de développement et de sécurité créé en février 2014 par cinq États du Sahel. Il s’agit de la Mauritanie, du Mali, du Burkina Faso, du Niger et du Tchad.

Covid-19 : réouverture des mosquées et hôtels en Algérie

Le pays enregistre une tendance à la baisse des cas de contaminations.L’Algérie allège ses mesures de restrictions anti coronavirus. Le gouvernement algérien a décidé de rouvrir dimanche les mosquées et les hôtels suite à une baisse des cas de Covid-19. Ces mesures annoncées par les services du premier ministre, s’appliqueront aujourd’hui (lundi) selon les services du Premier ministre.

Le gouvernement lève également la limitation des activités des cafés, restaurants et fast food à condition de fermer à 21h 00 locales et de ne proposer que des plats ou des boissons à emporter.

Toutefois, le couvre-feu de 22h 00 à 05h 00 est reconduit pour 15 jours dans 19 des 48 wilayas (préfectures), où il est encore en vigueur, dont Alger et Blida.

Malgré ces allégements, le gouvernement algérien reste vigilant puisque tous les rassemblements,  mariages, circoncisions mais aussi manifestations politiques,  demeurent interdits.

La presse sénégalaise toujours à fond sur l’affaire Sonko

Les quotidiens sénégalais, reçus ce lundi à APA, continuent de traiter de l’affaire Ousmane Sonko, l’opposant accusé de viol par une employée d’un salon de massage.Vox Populi rapporte la réaction de l’ex président, Me Abdoulaye Wade, sur les accusations de viol contre le président Pastef. « Sonko a manqué de prudence et a été piégé », titre ce journal.

Dans ce quotidien, le pape du Sopi poursuit : « Son inexpérience a été exploitée par un adversaire puissant et futé qui connaît ses faiblesses. Je condamne cette façon d’éliminer un adversaire politique ».

« Affaire Sonko-Wade sans massage », titre Le Quotidien, dans lequel journal, Me Wade réaffirme que « Sonko a manqué de prudence et a été piégé ».

A propos de ces « accusations de viol et autres contre Ousmane Sonko », Sud Quotidien note des « tirs groupés contre l’Etat ! »

« Refus du test Adn-Pastef dit craindre une manipulation étatique », informe le journal.

« Arrestations combinées des partisans de Sonko-Les dessous d’une traque. Le ministre de l’Intérieur est à la baguette des arrestations de responsables de Pastef. La police détiendrait des audios et des éléments compromettants contre ces militants. Arrestations, hier, à Saint-Louis, Dakar et Pikine », détaille EnQuête à sa Une.

Pour Walf Quotidien, on est « en route vers l’impasse » dans ce dossier « Sweet Beauté Spa », du nom de ce salon où Sonko faisait son massage.

Nos confrères profitent de l’affaire Sonko pour faire « une visite guidée dans un salon dakarois » pour « découvrir les petits secrets du massage ».

« Accusations de viols répétés de Adji Sarr contre Sonko-Deux armes à rayon X sur la tête de Sonko. Risques de poursuites par le Doyen des juges et le juge du 8e cabinet. Le leader de Pastef, le Parquet et le crime d’appel à l’insurrection », écrit L’Observateur.

Pendant ce temps, Vox Populi renseigne qu’« Ebola réapparaît en Guinée : Déjà 7 cas et 3 morts ».

« Réapparition d’Ebola en Guinée-Le Sénégal en alerte », renchérit Le Quotidien.

Parlant de la prise en charge hospitalière de la Covid-19, L’Observateur met en exergue cette « alerte rouge » et informe que « les Sénégalais meurent faute de lit de réanimation ».

« Daka de Médina Gounass-La Covid-19 reporte l’édition 2021 au 22 mai », souligne Sud Quotidien.

Frontières Côte d’Ivoire-Burkina: la Commission mixte installée vendredi

Les membres de la Commission mixte paritaire de la Côte d’Ivoire et du Burkina Faso pour la matérialisation des frontières entre les deux pays seront installés officiellement, vendredi.

Ces membres seront installés à Abidjan par le ministre ivoirien de l’Intérieur et de la sécurité, le général Vagondo Diomandé et son homologue du Burkina, ministre d’État, ministre de l’Administration territoriale et de la décentralisation M. Sawadogo Pengdwendé Clément.

Cette cérémonie marquera par ailleurs, le lancement officiel des activités de cette commission dans un contexte de récurrence de la menace terroriste et de velléités d’annexion du territoire ivoirien.

Elle sera précédée les 17 et 18 février 2021 des travaux de la première rencontre des membres de la Commission mixte paritaire de matérialisation de la frontière entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso.

Cette première rencontre permettra  de définir la méthodologie de travail  et d’adopter le plan d’actions  de la Commission pour les trois prochaines années.

Les membres de la Commission mixte paritaire de matérialisation de la frontière entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso au nombre de huit pour la Côte d’Ivoire ont été nommés le 13 novembre 2020, par l’arrêté du premier ministre Hamed Bakayoko, président de la Commission nationale des frontières de la Côte d’Ivoire (CNFCI).

Depuis la nomination de ses membres, la Commission a mené plusieurs activités, notamment le renforcement des capacités de ses membres, la visite de travail dans des centres d’archives nationaux et tenu des réunions préparatoires de la CMPM à la première rencontre de travail avec la partie burkinabé.

Maroc : Incinération de plus de 20 tonnes de résine de cannabis

Une quantité de 20,19 tonnes de résine de cannabis, et de produits illicites et de contrebande, dont la valeur marchande est estimée à 20,3 millions d’euros (220,18 millions de dirhams), a été incinérée samedi à Dakhla au sud du Maroc.L’incinération a concerné 12,62 tonnes de tabac parfumé (maassel), 276.070 de paquets de cigarettes, 57,9 kg de tabac moulu et 1,2 Kg de cannabis (Kif), fait savoir la direction inter-régionale de Sud des douanes.

La destruction a porté également sur 10.000 capsules de café, 4.013 flacons de médicaments vétérinaires, 11.250 boites de comprimés médicaux et 8.300 boites de produits aphrodisiaques, précise la même source.

Ces produits, qui ont été saisis au cours des deux derniers mois par les différents services de sécurité de la région Dakhla-Oued Eddahab, ont été détruits en présence des représentants des autorités locales et des différents services de sécurité, sous le contrôle du parquet compétent.

Maroc : Arrestation d’une ressortissante guinéenne en possession de plus de 1,5 kg de cocaïne

Les services sécuritaires de l’aéroport international Mohammed V de Casablanca ont procédé, dimanche, à la saisie d’une quantité de 1,577 kg de cocaïne chez une ressortissante guinéenne en provenance de Conakry, indique un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN).La drogue dure a été découverte sous les vêtements de la passagère, dissimilée à plusieurs endroits au niveau de son corps, à son arrivée à bord d’un vol en provenance de l’aéroport de Conakry, précise-t-on de même source.

La mise en cause a été soumise à une enquête judiciaire par le service préfectoral de la police judiciaire de Casablanca, sous la supervision du parquet compétent, en vue de déterminer la source et la destination de la drogue saisie en sa possession et d’élucider les ramifications régionales et internationales de cette activité criminelle, conclut le communiqué.

En terre ou en mer, les saisies de drogue se sont multipliées au Maroc, ces derniers mois, dans un contexte marqué par l’état d’urgence sanitaire décrété dans le pays depuis le 20 mars 2020 et prolongé jusqu’au 10 mars prochain.

En 2020, plus de 217 tonnes de résine de cannabis ont été saisies au Maroc, selon le dernier bilan fourni par la DGSN.

Coupe de la CAF : Le Raja de Casablanca s’impose face à l’US Monastir (1-0)

Le Raja de Casablanca s’est imposé, dimanche à domicile, face à la formation tunisienne de l’US Monastir sur le petit score de 1 à 0, en match-aller comptant pour le 2e tour préliminaire additionnel de la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF).L’unique réalisation de la rencontre a été l’oeuvre de Mahmoud Benhalib à la 36e minute. Le match retour aura lieu dimanche 21 février à Monastir.

Pour le compte du même tour, l’autre représentant du Maroc dans cette compétition, le TAS Casablanca, s’est incliné en déplacement face au club zambien de Nkana FC sur le score de 2 buts à 0.

Le digital dans l’antre des relations au salon de l’amour d’Abidjan

La première édition du Salon de l’amour et de la séduction d’Abidjan, s’est ouverte samedi avec des expositions innovantes présentant des offres digitales pour raffermir les liens d’amitié et les relations entre partenaires.

Sandra Kohet, une jeune dame âgée de 26 ans, venue au salon de l’amour et de la séduction, a via le canal des ondes, envoyé par whatsApp une carte personnalisée à son chéri avec sa photo et un message érotique pour lui exprimer son attachement.

« Je lui ai souhaité une bonne fête de Saint-Valentin, et que Dieu le bénisse », avoue Sandra Kohet qui espère avec son amoureux, dont la rencontre dure « pas longtemps » sceller un jour leur flamme devant l’officier de l’état civil. 

Le salon de l’amour et de la séduction se veut un marché mais également une opportunité pour les personnes en couple et les célibataires pour réinventer leurs relations et donner plus d’appétence à leur vie affective.

Dans un vêtement pourpre, Sosso la marieuse, explique aux visiteurs comment elle met en relation des célibataires en vue du mariage. Via un site web, sont recueillies les prétentions des célibataires à qui elle propose des plages de rencontres. 

« Quand les gens s’inscrivent sur le site (Internet), ils prennent un rendez-vous et ensuite, avec les informations données » l’agence prépare le format de la rencontre pour croiser l’âme soeur, dit-elle.

Sosso qui a déjà organisé des rencontres, se réjouit d’avoir amené deux jeunes gens à se mettre en couple. Elle offre des rencontres B to B selon les profils exigés et des soirées des célibataires par tranches d’âges, de 18 à 35 ans et de 35 à plus de 55 ans. 

A l’apparition des problèmes, « on les accompagne aussi », ajoute Sosso la marieuse, qui recherche « plus les personnes qui ont envie de se marier ». Cette jeune dame propose également des randonnées pédestres et des pic-nics. 

Amy Foulard, une autre exposante, propose le « baya » électronique. Une sorte de ficelle que porte les femmes autour du rein. Elle révèle qu’ il y a différents types de baya, « le baya instrument, piano et tam-tam ». 

Outre l’aspect séduction, ce baya est porté « pour ne pas que monsieur s’ennuie », fait savoir Amy Foulard, indiquant que les prix sont variés: 1.500 Fcfa, 5.000 Fcfa, 10.000 Fcfa ou 25.000 Fcfa. 

Constance Zalo, elle, se dit attirée par les articles de séduction. « J’ai vu plein de choses assez originales, beaucoup de gadgets, des perles, des huiles et de l’encens », énumère-t-elle, expliquant que « l’amour est bien plus qu’ un sentiment, c’est une décision et une attitude ».

William Ettien Aldo, le parrain de cette première édition du salon de l’amour et de la séduction, a laissé entrevoir que la Côte d’Ivoire qui a récemment traversé des violences électorales, a besoin de l’amour pour construire une nation stable.

La directrice exécutive de cet événement, Satou Dia, a relevé que le salon ouvre ses pavillons avec des expositions jusqu’en fin de soirée et se termine par un dîner gala féerique entre amoureux dans la nuit jusqu’aux heures de la Saint-Valentin. 

Plusieurs stands d’exposition ont été aménagés: sextoys, onglerie, coiffure, lingerie, littérature, alimentation, fiance, hôtellerie, mise en forme et parfumerie. En outre, ont été tenues des conférences thématiques sur l’amour avec pour thème central « l’amour, c’est la vie ».