Éliminatoires Can 2021 : Plusieurs équipes attendues pour la 5e journée

Les éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (Can) reprennent le 22 mars 2021, avec les matchs de la cinquième journée. A cet effet, plusieurs équipes sont attendues pour décrocher leur qualification. Parmi celles-ci, on retrouve les Lions de l’Atlas du Maroc ou les Super Eagles du Nigéria. Zoom sur ces sélections qui sont à 90 minutes de confirmer leur participation à la phase finale de la Can 2021.

La situation avant la prochaine échéance

On connaît depuis longtemps le pays organisateur de la prochaine édition de la Coupe d’Afrique des Nations, mais il va falloir encore un peu de patience pour découvrir tous les participants à cette grande messe continentale. Une messe qui attire autant de monde que la roulette. Dans chacun des 12 groupes, au moins une place reste encore à pourvoir. Si quelques trouble-fêtes s’immiscent dans la danse, les favoris sont très attendus à l’occasion de cette cinquième journée des éliminatoires.

Groupe A

Dans le groupe A, le Mali (10 points) a déjà assuré sa qualification, ce qui n’est pas le cas pour la Guinée (8 points). Le Syli national a encore besoin de trois points pour se mettre à l’abri de tout changement de situation à la sixième journée de compétition. Ainsi, Naby Kéita et ses poulains doivent déjouer les Aigles du Mali pour réussir cette mission. En revanche, un match nul entre la Namibie (3 points) et le Tchad (1 point) pourrait faire les affaires de l’équipe guinéenne qui va d’office se qualifier, même en cas d’échec face au Mali.

Groupe B

Dans le groupe B, aucune carte n’est prise car toutes les équipes peuvent encore se qualifier. Actuel leader, le Burkina Faso (8 points) doit réussir le difficile challenge d’aller s’imposer en Ouganda (7 points) pour assurer sa qualification avant la dernière journée. L’enjeu est le même pour l’équipe ougandaise qui pourrait ne doit plus se permettre de perdre des points à ce stade des campagnes éliminatoires. Mais il faut bien faire attention aux sélections du Malawi (4 points) et du Sud Soudan (3 points) qui peuvent faire mouche en cas de succès absolu pour leurs deux derniers matchs de groupe.

Groupe C

Le Ghana et l’Afrique du Sud sont toujours en embuscades dans le groupe C. Avec neuf points chacune, ces deux sélections croisent le fer lors de la prochaine journée de compétition. Sans doute, ce sera la bataille pour le fauteuil de leader de ce groupe. Même après cette confrontation, les deux formations seront toujours en quête de point. L’enjeu est tout particularisé par la ténacité du Soudan qui compte six points derrière et qui peut aussi se permettre une place au Cameroun en cas de succès face au Sao Tomé et Principe.

Groupe E

Au niveau du groupe E, pas de grande difficulté en vue pour les Lions de l’Atlas du Maroc, en quête d’un seul point pour valider leur qualification. Pour cela, Hakim Ziyech et ses partenaires doivent éviter la défaite en terre mauritanienne lors de la cinquième journée. C’est la seule sélection du groupe qui peut se qualifier au prochain rendez-vous. La Mauritanie (5 points), le Burundi (4 points) et la Centrafrique (3 points) vont devoir attendre la toute dernière journée de compétition pour être fixé sur leur sort.

Groupe G

Le groupe G de l’Egypte promet une  »bataille jusqu’au-boutiste » si les choses se déroulent autrement pour les deux leaders. En effet, les Pharaons partagent la tête de cette poule avec leurs homologues comoriens. Avec huit points, chacune de ces deux formations peut assurer sa qualification en cas de victoire ou de match nul dès la prochaine journée. Le fait est que l’Egypte croise le fer avec le Kenya (3 points), tandis que l’équipe comorienne reçoit son homologue du Togo (1 point) déjà éliminée.

Groupe K

Aucune équipe n’est encore qualifiée dans le groupe K. A égalité de points (7), la Côte d’Ivoire et le Madagascar doivent juste gagner leurs prochains adversaires pour valider les deux places disponibles. Mais un hic existe à ce niveau. Leur poursuivant direct (Ethiopie) est à six points et peut brouiller les pistes en cas de succès face au Madagascar pour sa prochaine sortie. De son côté, la Côte d’Ivoire doit en découdre avec le Niger pour se donner une bouffée d’air. La seule condition pour que les Eléphants ivoiriens soient qualifiés au prochain match est que les malgaches arrivent à s’imposer devant l’Ethiopie.

Groupe L

Dans le groupe L, le scénario est tel que toutes les équipes ont encore une chance de se qualifier. Le Nigéria (8 points) et le Bénin (7 points), actuels maîtres de cette poule, ont rendez-vous pour le compte de la cinquième journée. En cas de victoire, l’un de ces deux adversaires doit pouvoir se faire une place pour la phase finale, tandis que le perdant va tenter sa chance au prochain match.

Chan 2020 : Quatre chocs en vue pour la course au titre

Démarré depuis le 16 janvier 2021, la sixième édition du Championnat d’Afrique des Nations (Chan) suit son cours au Cameroun. Après la fin des matchs de la phase de groupes, la place est réservée au tour suivant où les équipes vont tenter de décrocher un ticket pour les demi-finales de la compétition. A ce rendez-vous, le Cameroun, le Maroc et la RD Congo, respectivement équipe hôte du Chan 2020, champion en titre et plus titré de la compétition sont toujours en lice. Avec les cinq autres challengers, ces sélections locales promettent quatre chocs d’envergure aux observateurs et téléspectateurs.

Il faut attendre le 30 janvier 2021 pour revoir les joueurs à l’œuvre dans cette sixième édition du Championnat d’Afrique des Nations. Ainsi, sur l’ensemble des participants encore en lice pour les quarts de finale, seulement deux ont eu à soulever le trophée de la compétition par le passé. Il s’agit du Maroc (2018) et de la RD Congo (2009, 2016). Loin d’être une affaire de passé glorieux, les matchs à venir s’annonce un peu corsé pour l’une comme l’autre de ces deux formations.

Mali – Congo, un duel d’ambitieux

Tout comme le Mali, le Congo en a après ce trophée depuis très longtemps. Il s’agit d’une quatrième participation pour les Aigles maliens, contre trois pour les Diables Rouges congolais. Le premier aspect à dégager de cette confrontation est qu’il s’agit de deux formations qui ont des styles de jeu différents. La sélection malienne a su toujours compter sur son collectif pour faire la différence ; c’est d’ailleurs ce qui l’a amenée à terminer leader du groupe A, devant le Cameroun. De son côté, l’équipe du Congo s’est montrée moins convaincante sur ses trois sorties, malgré une victoire qualificative face à la Libye (1-0), grâce au réalisme de Ngouonimba. Même s’ils ont encaissé moins de buts (2), les Diables Rouges ont du mal à s’imposer aussi devant les buts adverses avec seulement deux buts marqués. Il va leur falloir sortir les bouchées doubles pour espérer passer ce tour face à leurs homologues maliens, très solides défensivement avec un seul but encaissé. La mauvaise nouvelle est que les défenseurs congolais auront fort à faire devant une équipe bien qui sait manier le ballon et qui a toujours marqué dans chacun de ses matchs de la compétition jusque-là. Le match est annoncé pour le 30 janvier 2021 à partir de 16h00 GMT et s’annonce aussi intéressant que la roulette.

RD Congo – Cameroun, un choc basé sur l’expérience et l’honneur

Cinq participations pour les Léopards contre quatre pour les Lions Intermédiaires. Sans doute, c’est une bataille entre équipes expérimentées, quand on sait que la compétition n’est qu’à sa sixième édition. A ce niveau, le déséquilibre se situe au niveau du palmarès. La RD Congo compte deux titres de champions, alors que le Cameroun n’a jamais atteint l’étape des demi-finales dans l’histoire du Chan. Un challenge qu’il vaut mieux relever à domicile, même si l’adversaire n’est pas des moindres. C’est en ce moment que l’honneur intervient. Privée de son latéral gauche Serge Andoulo, la sélection camerounaise voudra forcément bien faire afin d’atteindre pour la première fois le carré d’as. Quant à eux, Florent Ibenge et ses Léopards de la RD Congo qui ont été missionnés de ramener le titre au pays, vont faire de leur mieux pour tenir leur rang du plus grand vainqueur. Le match est programmé pour le 30 janvier 2021 à partir de 19h00 GMT.

Maroc – Zambie, le tenant du titre à l’épreuve de confirmation

Autant que les Léopards congolais, les Lions de l’Atlas doivent tout donner pour décrocher un deuxième titre consécutif dans la compétition. Malgré un début en demi-teinte, Houcine Ammouta et ses poulains semblent avoir retrouvé du rythme, à l’image de leur dernier match de groupe (victoire 5-2 face à l’Ouganda). Mais en quarts de finale, il va falloir être prudent devant une équipe de la Zambie très confiante. Même si le Maroc peut se targuer d’avoir la meilleure attaque et l’une des meilleures équipes de la compétition, la Zambie n’est pas sans prétention. A l’instar des marocains, les Chipolopolos n’ont perdu aucun match depuis leur entrée en lice et n’ont encaissé qu’un seul but trois sorties. Cela témoigne de toute la rigueur défensive de la formation zambienne. En tout cas, il s’agit de duel entre deux habitués de la compétition, le 31 janvier 2021 à partir de 16h00 GMT.

Guinée – Rwanda, un match très ouvert

Entre deux outsiders, le plus méritant doit passer. Même si la Guinée a pu atteindre les demi-finales en 2016, cette performance est très loin désormais. Au vu des matchs disputés par l’une ou l’autre des deux formations, le Syli National s’annonce comme favori de la partie. Avec un total de six buts marqués en trois matchs, les guinéens ont toujours trouvé le chemin des filets. Les défenseurs rwandais doivent donc faire mieux que lors de leurs précédents matchs. En tout, c’est une affiche équilibrée entre les deux adversaires.

Football centrafricain : À quand une première phase finale de la CAN ?

114ième Classement FIFA et 28ième au plan continental, les Fauves du Bas-Oubangui n’ont jamais réussi à se qualifier pour la compétition finale de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) après avoir à plusieurs reprises déclaré forfait ou été suspendues. Avec un format à 24 Nations, les centrafricaines pourrons crées la sensation et pourquoi pas dès l’édition 2022 au Cameroun.

Conditions de participation à la CAN

Tournoi organisé tous les deux ans, la CAN est une compétition continentale réservée aux différentes nations qui sont affiliées à la Confédération Africaine de Football (CAF). Une confédération dont les matchs sont relayés par les sites de paris en ligne. Les différentes équipes nationales prennent part à la phase qualificative compte tenu de leur classement au plan régional. Ainsi donc, des équipes mal classées prennent part d’abord au tour préliminaire avant de jouer les phases de groupes en vue d’une qualification.

Expérience calamiteuse

Créée vers 1974, la République centrafricaine figure parmi les équipes africaines les moins connues et n’ayant participé à aucune phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations de Football.  Elle figure parmi les équipes les plus faibles. La sélection actuellement dirigée par le sélectionneur ivoirienne François Zahoui n’a véritablement pas connu les phases éliminatoires pour une phase finale d’une CAN. Ils ont à maintes reprises jetés les paliers avec des déclaration de forfaits en 2009, en 2014 et en 2016. Ils se sont volontairement retirés en 2011. Conformément à article 57 relatif à l’organisation de la CAN, les Fauves du Bas-Oubangui ont été logiquement contraintes de ne pas participer au tournoi qualificatif pour la CAN 2019.

Can 2022, l’objectif

Après avoir longtemps été relégué au dernier rang sur le continent, la sélection s’est dotée de plusieurs armes pour réaliser son plus grand rêve : une phase finale de Can. Pour cela, Zahoui a été officialisé par la fédération avec pour objectif de qualifier la Centrafrique pour la CAN 2021 (qui va se jouer finalement en 2022 en raison de la propagation du coronavirus). L’ivoirien qui a mené les Eléphants de la Cote d’ivoire en finale perdue face à la Zambie a l’expertise nécessaire pour apporter le sourire à toute une nation. Pour ses débuts sur le banc en commun accord avec la fédération a rapatrié un certain nombre important de binationaux. On nombre de ceux-ci, on peut noter l’arrivée en sélection du joueur de l’Atlético Madrid, Geoffrey Kondogbia actuel capitaine qui avait pourtant porter les couleurs de l’équipe de France.

Logés dans la poule E en compagnie du Maroc, de la Mauritanie et du Burundi, les centrafricains étaient la seule Nation dans ce groupe avec zéro Can. Cependant, l’équipe de Zahoui a fait fort impression avec une victoire 2-0 face au Burundi. Un joli départ qui mettait tout le monde d’accord sur l’avenir du onze national. Malheureusement l’équipe enregistrera trois défaites de rang. Une face à la Mauritanie à la deuxième journée et deux lors de la double confrontation face au Maroc. Une désillusion qui n’empêche guère les joueurs à maintenir le suspens. Bien que dernière du groupe E des éliminatoires, La République Centrafricaine peut toujours se qualifier pour la Coupe d’Afrique des Nations alors qu’il reste deux journées à disputer, le 22 mars (au Burundi) et le 30 mars (contre la Mauritanie). Le Maroc a quasiment son billet en poche pour la CAN, programmée du 9 janvier au 6 février 2022, et la deuxième place de la poule reste accessible. « La qualification est possible à 75 % », estime Eloge Enza-Yamissi. « Mais il faudra gagner les deux matches. À l’aller, on avait perdu en Mauritanie (0-2) mais il manquait Kondogbia et je n’étais pas là non plus. Et on avait battu le Burundi (2-0) » Le classement du groupe E : 1. Maroc 10 points ; 2. Mauritanie 5 points ; 3. Burundi 4 points ; 4. République Centrafricaine 3 points.

La covid, un risque à éviter

En cette période marqué par la crise sanitaire, beau nombre de joueurs ont dû déclarer forfait aux rassemblements nationaux. Selon le protocole adopté par le Comité d’urgence de la CAF les équipes ne disposant pas d’un effectif de 11 joueurs gardien y compris perdront sur tapis vert. Les joueurs centrafricains doivent à tout prix être testés négatifs au test PCR afin de livrer une vraie bataille en Mars prochain pour le compte des deux dernières journées.

BAD: Nafissatou N’diaye, directrice de communication par intérim, annonce son départ

La directrice de la communication par intérim du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD), Nafissatou N’diaye-Diouf, annonce son départ de l’institution, dans une note à un pool de journalistes accrédités auprès de la banque.

« Je tenais à vous informer de ma décision de quitter la banque », écrit Nafissatou N’Diaye-Diouf, consultante, cheffe de division et directrice de la communication par intérim de la BAD, insinuant que le moment est venu pour elle d' »explorer de nouveaux horizons ».

Fière de l’expérience partagée au sein de l’institution, elle se réjouit d’avoir « travaillé avec des esprits brillants, qui ont véritablement à cœur d’œuvrer au développement économique et social de l’Afrique ». 

« Je pense avoir laissé un héritage qui aidera à maintenir un niveau d’exigence élevé en termes de stratégie éditoriale et de communication », dit-elle, tout en se félicitant du « travail remarquable accompli à la communication de la banque ».

Dans sa mémoire, sont encore incrustés des moments forts qu’elle a particulière appréciés, entre autres, le Sommet mondial sur le Genre à Kigali, les Assemblées annuelles du Groupe à Malabo, la couverture de l’augmentation de capital de la Banque et de la reconstitution du Fonds africain de développement  (FAD).

« La vie est un voyage et j’ai hâte de prendre la route vers ma prochaine destination; hâte d’entamer une nouvelle phase de ma vie professionnelle », lance Nafissatou N’diaye-Diouf, nommée en avril 2020 directrice par intérim du département de la communication et des relations extérieures de la BAD.

Elle occupait précédemment le poste de cheffe de division au sein du Département de la communication et des relations extérieures (PCER) de la banque.

Avant d’être nommée directrice par intérim de Communication de la banque,  la Sénégalaise Nafissatou N’Diaye-Diouf, occupait le poste de cheffe de division au sein du Département de la communication et des relations extérieures (PCER) de la banque. Selon la note, sa nomination est en vigueur depuis le 1er avril 2020.

Elle avait remplacé à ce poste Victor Oladokun, chef du département de la communication et des relations extérieures de l’institution, admis à faire valoir ses droits à la retraite.

Santé, social et économie au menu des quotidiens marocains

Les quotidiens marocains parus ce samedi traitent de nombre de sujets notamment la campagne de vaccination, le programme « villes sans bidonvilles » et le bilan 2020 de la recherche des hydrocarbures.+Le Matin+ écrit : « l’attente est enfin terminée ! La campagne nationale de vaccination contre la Covid-19 a été lancée et les premières injections ont été administrées ce vendredi matin dans les différentes régions du Royaume ».

Celles-ci sont réservées en priorité aux professionnels de la santé de plus de 40 ans, aux autorités publiques, aux forces de la police et aux militaires, aux enseignants de plus de 45 ans, mais aussi aux plus de 75 ans, rappelle le quotidien.

+Al Massae+ rapporte que la ministre de l’Habitat, Mme Nouzha Bouchareb a révélé que le nombre de bidonvilles a augmenté de 183.000 unités en 16 ans, soit 11.000 par an et 30 par jour. Le quotidien indique que la ministre a déclaré devant la commission de contrôle des finances publiques à la chambre des représentants que le programme « villes sans bidonvilles » a été confronté à de nombreuses contraintes.

La ministre cite notamment l’augmentation du nombre de familles concernées, qui est passé de 270.000 en 2004 à 453.906 familles en 2020. Ce faisant, ajoute-t-elle, le nombre de familles qui ont bénéficié de ce programme a atteint, à la fin de l’année écoulée, 301.914 familles soit 66% de la population concernée.

Quant au nombre de familles qui attendent d’être relogées, il s’élève à 152.992, dont 47% sont concernées par des unités réalisées ou en cours de réalisation et 53% dont le relogement n’a pas encore été programmé. La ministre a, par ailleurs, mis l’accent sur l’incapacité des bénéficiaires à s’acquitter de leurs dus et du coup la faiblesse du nombre de familles à rejoindre les logements réalisés.

Une situation qui retarde l’opération de relogement, d’autant plus que les centres d’accueil souffrent d’une carence des équipements essentiels tels les établissements publics, les moyens de transport, les activités industrielles et autres.

+L’Economiste+ cite les données de l’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM) pour l’année 2020, selon lesquelles 13 sociétés opèrent en partenariat avec l’Office dans la recherche des hydrocarbures conventionnels sur une superficie totale de 126 915,08 km².

Cette superficie est répartie en 28 permis onshore, 26 permis offshore, 2 autorisations de reconnaissance onshore et 1 autorisation de reconnaissance offshore et 9 concessions d’exploitation (dont 1 ONHYM). Ainsi, en 2020, 5 puits ont été forés par le partenaire SDX Energy dans le Gharb dont 3 sont positifs. « Les investissements, en prévision de clôture seraient de 398,49 millions de DH par les partenaires et de 113,77 millions de DH (1 euro = 10,8 DH) pour l’ONHYM », indique également l’office, cité toujours par la publication.

L’ONHYM  a en outre noué de nouveaux partenariats l’année dernière. Ils portent sur 2 contrats de reconnaissance, 7 avenants aux accords pétroliers, 2 mémorandums d’entente, 1 avenant au mémorandum d’entente. Le portefeuille du partenariat hydrocarbures s’est renforcé avec la signature d’un contrat de reconnaissance avec la société CONOCOPHILLIPS, considérée comme l’un des acteurs majeurs de l’industrie pétrolière internationale, relève le quotidien.

Sénégal : les 750 pélicans de Djoudj sont morts de grippe aviaire (ministre)

Les 750 pélicans blancs du Parc national des oiseaux de Djoudj (PNOD, nord) sont morts de la grippe aviaire, a annoncé le ministre de l’Environnement et du Développement durable.Interrogé par la Radio futurs média (Rfm, privée), Abdou Karim Sall a confirmé qu’il s’agit de la grippe H5 N1, une piste pourtant écartée au début.

« Il s’agit bien entendu de l’influenza aviaire de type A qui est un sous type de la grippe H5 N1 communément appelée la grippe aviaire », a notamment dit le ministre de l’Environnement et du Développement durable, Abdou Karim Sall.

Il a promis de travailler avec le ministre de l’Elevage et des Productions animales pour voir comment contenir la maladie.

Le 23 janvier dernier, 750 pélicans blancs dont 740 jeunes et 10 adultes ont été retrouvés morts au Parc national des oiseaux de Djoudj.

Le 2 janvier plus tôt, 42.000 volailles ont été abattues à Pout (Thiès, ouest), après la mort de 60.000 autres pour cause de grippe aviaire.

Caf: le TAS suspend les sanctions contre Ahmad Ahmad

Le Tribunal arbitral du sport (Tas) a suspendu provisoirement, vendredi soir, les sanctions de la Fifa contre Ahmad Ahmad, ex président de la Confédération africaine de football (Caf).Cette décision préliminaire du Tas qui examinera l’appel de Ahmad le 2 mars 2021, rétablit ainsi le malgache dans ses fonctions de président de la Caf.

En novembre dernier, la chambre de jugement de la Commission d’éthique de la Fifa avait suspendu Ahmad de la présidence de la Caf et lui avait interdit pendant 5 ans de toute activité relative au football (administrative, sportive et autres) aux niveaux national et international. 

La Fifa disait avoir établi, sur la base des informations recueillies par la chambre d’instruction, que le Malgache a manqué à son devoir de loyauté, accordé des cadeaux et d’autres avantages, géré des fonds de manière inappropriée et abusé de sa fonction de président de l’instance faîtière du football africain.

Par conséquent, la Fifa avait prononcé à son encontre une interdiction de toute activité relative au football. En outre, il devrait s’acquitter d’une amende s’élevant à 185.000 euros, soit plus de 120 millions F Cfa.

L’enquête sur le comportement de M. Ahmad entre 2017 et 2019 a porté sur diverses questions liées à la gouvernance de la Caf – l’organisation et le financement d’un pèlerinage à La Mecque (Oumra) – ses accointances avec l’entreprise d’équipement sportif Tactical Steel et d’autres activités, lit-on sur le site de la Fifa.

Le dirigeant malgache avait déjà été placé en garde à vue en France pour des soupçons de corruption en juin 2019. A quatre mois de l’élection du président de la Caf, les cartes sont rebattues. L’Ivoirien Jacques Anouma, le Sud-africain Patrice Motsepe, le Mauritanien Ahmed Ould Yahya et le Sénégalais Augustin Senghor ont déjà officialisé leur candidature.

Coronavirus et nécrologie au menu de la presse sénégalaise

L’actualité relative au Coronavirus et le décès de Mourchid Iyane Thiam, président de la Commission nationale d’observation du croissant lunaire (Conacoc), font le menu des quotidiens sénégalais reçus ce samedi à APA. »Plan de déploiement des vaccins cette année-Près de 3,5 millions de personnes ciblées », informe le quotidien national Le Soleil en première page.

Parlant de cette lutte contre la Covid-19, Vox Populi dévoile « comment le Sénégal compte déployer son plan de vaccination » et détaille: La campagne cible 3 430 920 personnes dont 20 600 personnels de santé et 447.811 personnes âgées de 60 ans.

A la Une de Vox Populi, Dr Fatou Mbaye Sylla, directrice des établissements publics de santé parle du « rythme soutenu des contaminations à la Covid-19 » et prévient: « Si le flux des malades continue ainsi, on ne pourra plus tenir. Il faut que chacun assume ses responsabilités ».

« Covid-19: Riposte communautaire pour ralentir la mortalité-Au secours du 3e âge », titre Kritik.

De son côté, Source A fait état d’une « acquisition gratuite des premières doses de vaccins au profit de 20% de la population » et révèle: « Voici le mécène de Macky. Le Sénégal ne prendra en charge que les coûts opérationnels pour vacciner sa population cible ».

Dans L’As, le professeur Souleymane Mboup rassure: « Le niveau de circulation du variant britannique n’est pas pour le moment inquiétant ».

Ce quotidien revient également sur le décès de Mourchid Ahmed Iyane Thiam et écrit que « le croissant lunaire perd son observateur général ».

Cela fait dire à Walf Quotidien qu’avec le décès du président de la Commission nationale d’observation du croissant lunaire  (Conacoc), « une lune s’éclipse ».

Pendant ce temps, Source A retrace le « parcours d’un unificateur pur-sang ». « Décès de Mourchid Iyane Thiam-La Commission nationale du croissant lunaire orpheline », renchérit Lii Quotidien, à côté de Direct-News qui parle de « l’éclipse d’un croissant lunaire » et rappelle que c’est en 1996 que le défunt a institué ladite commission.

À propos de la déclaration de patrimoine, Walf Quotidien informe que le nouveau président du Conseil économique, social et environnemental  (Cese), « Idy (Idrissa Seck) se dévoile » car, il a sacrifié à l’exercice, hier.

Cette tentative d’assassinat à la Cité Aliou Sow, à Dakar, fait la Une du journal EnQuête qui s’exclame: « Au comble du sordide! »

Nos confrères informent que le mari français égorge sa femme, alors que son fils s’acharne sur sa tête avec un marteau.

Maroc : L’opération de vaccination entamée dans toutes les régions du pays

L’opération de vaccination contre la Covid-19 des professionnels de la santé, a démarré, vendredi, dans toutes les régions du Maroc.Lancée jeudi par le Roi Mohammed VI, la campagne nationale de vaccination anti-Covid-19 ciblera graduellement les catégories concernées, particulièrement les personnes vulnérables au virus et ses complications, à savoir les professionnels de la santé âgés de plus de 40 ans et les autorités publiques et les Forces Armées Royales, ainsi que les membres de la famille de l’éducation de plus de 45 ans.

Il s’agit aussi des personnes âgées de plus de 75 ans ainsi que, dans un premier temps, les zones en proie à des taux élevés de contamination.

Conformément aux hautes instructions royales, cette campagne de vaccination sera gratuite pour l’ensemble des citoyens.

Le Maroc a commandé des quantités de vaccins suffisantes pour 33 millions de personnes (66 millions de doses). Il avait déjà reçu un premier lot du vaccin britannique AstraZeneca, fabriqué en Inde, et une première livraison du vaccin conçu par le laboratoire chinois Sinopharm.

A ce jour, le Maroc enregistre 469.990 cas confirmés à la Covid-19, dont 8.246 décès et 447.866 rémissions. Les cas actifs sont au nombre de 13.878 cas parmi lesquels se trouvent 738 personnes sont dans un état sévère ou critique.

Maroc : Des associations appellent à faire bénéficier toute la population migrante au Maroc du vaccin anti-Covid

Des associations ont appelé les autorités marocaines à faire bénéficier toute la population migrante au Maroc du vaccin contre la Covid-19.Dans un communiqué, parvenu à APA, ces associations (Papiers Pour Tous, Organisation Démocratique du Travail – Immigrés, Conseil des Migrants Subsahariens au Maroc (CMSM) et Association Beni Znassen pour la Culture, le Développement et la Solidarité (ABCDS), remercient les autorités marocaines pour les efforts déployés tout au long de la période de la pandémie du Coronavirus afin d’en atténuer l’impact sur la population migrante au Maroc qui vit déjà dans des conditions difficiles, voire même précaires.

Elles saluent également la décision des autorités marocaines, sur instructions royales, de faire bénéficier, gratuitement, toute la population migrante vivant au Maroc de la vaccination contre la Covid-19.

Ces associations attirent l’attention des autorités marocaines sur certains aspects techniques et administratifs qui risqueraient d’exclure ou d’entraver l’accès d’une partie de la population migrante à la vaccination contre la Covid-19.

Il s’agit des migrants dont le titre de séjour est déjà expiré et non renouvelé à ce jour, ceux qui ne sont en possession d’aucun titre de séjour et dont la demande de régularisation a été rejetée en 2014 et/ou en 2017 et les migrants qui ne sont en possession d’aucun titre de séjour et qui n’ont pas déposé de demandes de régularisation en 2014 et/ou en 2017 ou qui sont arrivés au Maroc après la deuxième opération exceptionnelle de régularisation des étrangers de 2017.

A cet effet, les signataires appellent les autorités marocaines à mettre en place des mesures adaptées qui prennent en considération la spécificité de cette population et d’impliquer les acteurs et organisations de la société civile dans les efforts de sensibilisation relatifs à cette opération de vaccination et plus particulièrement en ce qui concerne l’identification et l’inscription des migrants à cette opération.

L’opération de vaccination contre la Covid-19 des professionnels de la santé, a démarré, vendredi, dans toutes les régions du Maroc.

Lancée jeudi par le Roi Mohammed VI, la campagne nationale de vaccination anti-Covid-19 ciblera graduellement les catégories concernées, particulièrement les personnes vulnérables au virus et ses complications, à savoir les professionnels de la santé âgés de plus de 40 ans et les autorités publiques et les Forces Armées Royales, ainsi que les membres de la famille de l’éducation de plus de 45 ans.

Il s’agit aussi des personnes âgées de plus de 75 ans ainsi que, dans un premier temps, les zones en proie à des taux élevés de contamination.