Plus de 10 millions de Sud-africains au chômage (Agence)

Le taux de chômage en Afrique du Sud a diminué pour atteindre 10,3 millions de personnes, soit 23,3% de la population active au cours du deuxième trimestre 2020, a déclaré mardi l’institut de statistiques sud-africain.Ce taux est inférieur aux 30,1% enregistrés au cours du premier trimestre de cette année, a indiqué l’agence.

 Selon Stats SA, le chiffre du chômage reflète l’impact négatif de la pandémie Covid-19 sur l’économie suite au durcissement des mesures de confinement qui ont interrompu la plupart des activités économiques de mars à juin.

 Avec une économie plus ouverte maintenant, bien qu’avec des restrictions allégées, le troisième trimestre de 2020 devrait voir une plus grande amélioration des taux d’emploi, indique l’agence.

 L’analyste sud-africain du travail, Terry Bell, a cependant déclaré que la croissance économique ne suffirait pas à baisser le taux de chômage du pays.

 La longue histoire de croissance sans emploi du pays appelle plutôt à une nouvelle approche, comme la réduction de la masse salariale des ministres et des dirigeants d’entreprises du secteur privé.

 « Je veux dire, si vous commencez au sommet en regardant le Parlement où les ministres sont payés plus de 100.000 dollars US juste en termes de salaires mensuels – plus tous les avantages en termes de frais de transport et de logement. Il en va de même pour les entreprises du secteur privé », a déclaré M. Bell.

 

Et d’ajouter : « nous devrions examiner la santé de l’économie, la santé en termes de personnes ayant un emploi décent à un salaire décent. Et peut-être devrions-nous sérieusement commencer à envisager de combler l’énorme écart de salaire et de protection sociale des travailleurs du pays ».

Jules Ngankam nommé directeur général du Groupe African Guarantee Fund

Le Camerounais Jules Ngankam a été nommé au poste de directeur général de African Guarantee Fund (AGF) lors d’une session du Conseil d’administration du Groupe tenue le 22 septembre dernier, rapporte un communiqué transmis, mardi à APA.La nomination de M. Ngankam intervient dans un contexte où les banques à travers le continent ont un besoin urgent d’instruments de couverture de risque afin de soutenir leurs activités de prêt auprès des Petites et moyennes entreprises (PME).

« Je suis très honoré de pouvoir occuper ce poste. Au cours de ces dernières années, AGF a réussi le pari de permettre aux PME africaines de contribuer davantage à la croissance des économies africaines, et nous travaillerons à obtenir des résultats encore plus importants », a-t-il déclaré.

Le Conseil d’administration de AGF a également approuvé le plan d’implémentation du programme Affirmative Finance Action for Women in Africa (AFAWA), une initiative implémentée conjointement avec la Banque africaine de développement visant à réduire le déficit de financement qui affecte les femmes entrepreneures en Afrique.

S’exprimant lors de la réunion du Conseil d’administration, le nouveau président, M. Felix Bikpo, a félicité M. Ngankam et lui a souhaité du succès dans ses nouvelles fonctions. Il a également remercié le Conseil d’Administration pour le soutien continu apporté au Groupe en faisant référence à l’approbation du programme AFAWA qui va changer la donne pour les femmes entrepreneures d’Afrique.

M. Ngankam qui a été nommé directeur général par intérim du Groupe début juillet dernier, a rejoint AGF en 2013 en tant que directeur financier. Nommé directeur général adjoint en avril 2017, il est diplômé en statistique et économie de l’Ecole nationale de la statistique et de l’administration économique (ENSAE) de Paris et en management de l’ESSEC Business School de Paris.

Jules Ngankam est également titulaire d’un master en mathématiques appliquées de l’Université de Paris Dauphine.

African Guarantee Fund est une institution financière non bancaire dont l’objectif est de promouvoir le développement économique, d’accroître les créations d’emplois et de réduire la pauvreté en Afrique en fournissant aux institutions financières des solutions de garantie et un appui au renforcement des capacités, spécifiquement destinés à soutenir les PME en Afrique.

Il a été créé par le gouvernement du Danemark par le biais de l’Agence danoise de développement international (DANIDA), le gouvernement espagnol par le biais de l’Agence espagnole de coopération et de développement international (AECID) et la Banque africaine de développement (BAD).

L’Agence française de développement (AFD), le Fonds nordique de développement (NDF), le Fonds d’investissement pour les pays en développement (IFU) et la KfW Development Bank sont les autres actionnaires.

Le ministre marocain des AE rencontre à Bamako les responsables de la transition malienne

Le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita s’est rendu mardi à Bamako où il a rencontré le président de transition malien Bah N’Daw avant de s’entretenir avec le vice-président malien, le Colonel Assimi Goïta, et le Premier ministre de transition, M. Moctar Ouane.M. Bourita a également rencontré des personnalités maliennes en dehors du champ politique. Parmi elles, Bouye Haidara, chef de la confrérie tijaniya au Mali.

Le ministre marocain a également rencontré le leader religieux et politique, Mahmoud Dicko, leader du Mouvement 5 juin qui a mené la contestation contre l’ancien président Ibrahim Boubacar Keita..

Avant cette visite, le Maroc avait appelé au mois d’août à la mise en place d’ « une transition pacifique et civile du pouvoir » en vue de restaurer la stabilité du pays.

Le 22 septembre, le diplomate marocain Moha Ouali Tagma a été désigné par la présidente de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) en tant que membre de la délégation de haut niveau chargée de soutenir la transition démocratique au Mali. Celle-ci sera pilotée par l’ancien chef de la diplomatie sénégalaise Cheikh Tidiane Gadio.

Cheikh Nawaf Al-Ahmad Al-Jaber Al-Sabah, nouvel émir du Koweït

Le prince héritier du Koweït, Cheikh Nawaf Al-Ahmad Al-Jaber Al-Sabah est devenu le nouvel émir de l’État suite au décès de Cheikh Sabah Al-Ahmad Al-Jaber Al-Sabah, a annoncé mardi le Conseil des ministres.Conformément aux dispositions de la Constitution et de l’article 4 de la loi relative à la succession, Cheikh Nawaf Al-Ahmad Al-Jaber Al-Sabah devient l’émir de l’Etat du Koweït, a précisé le Conseil des ministres dans un communiqué cité par l’agence de presse officielle Kuna.

L’émir du Koweit cheikh Sabah Al-Ahmad Al-Sabah est décédé, mardi, à l’âge de 91 ans a annoncé la télévision d’Etat koweitien.

Né le 17 juin 1929, le défunt était devenu l’émir du Koweït le 29 janvier 2006, date de sa confirmation par l’Assemblée nationale.

Premier ministre de juillet 2003 à janvier 2006, il avait occupé le poste de ministre des Affaires étrangères pendant 40 ans, soit de 1963 à 2003.

Côte d’Ivoire: les travailleurs appelés à «rester sourds» aux appels à la désobéissance civile

Le Mouvement des travailleurs engagés pour la paix (MTP), une organisation qui dit promouvoir la paix en Côte d’Ivoire, a appelé les travailleurs ivoiriens « à rester sourds» à l’appel à la désobéissance civile lancé par certains acteurs politiques estimant que « sans travail nous n’avons pas de dignité ». « Au moment où s’élèvent des voix pour appeler à la violence et à la désobéissance civile, le MTP demande à tous ses membres sur  toute l’étendue du territoire national, de prendre toutes les dispositions utiles pour maintenir la continuité du travail afin de sauvegarder nos acquis et  préserver la paix sur les lieux de travail. Restons sourds à tout appel à la violence et au chaos», a exhorté Innocent Koffi, le président du MTP dans une déclaration transmise mardi à APA.

« Sans travail, nous n’avons pas d’existence. Sans travail, nous n’avons pas de dignité. Sans travail, nous sommes la proie de tous les vices. La politique ne doit donc pas nous pousser à détruire les fruits de notre travail », a soutenu M. Koffi interpellant les acteurs politiques à la mesure et au sens élevé de l’intérêt de la nation.

Poursuivant, il a appelé avec insistance à la nécessité d’un climat électoral apaisé en Côte d’Ivoire, estimant que ce sont les travailleurs qui ont payé le plus lourd tribut pendant les crises politiques précédentes dans le pays.

Dans la foulée, M. Koffi a salué les acquis économiques réalisés par la Côte d’Ivoire et le climat social apaisé dans le pays depuis près d’une décennie. Selon lui, « il n’est donc pas souhaitable que cette paix soit encore perturbée à cause des échéances électorales prochaines».

Depuis plus d’une semaine, l’opposition ivoirienne qui conteste les décisions des institutions électorales, notamment la validation de la candidature du président ivoirien Alassane Ouattara à l’élection présidentielle du 31 octobre prochain, a appelé les populations à observer la désobéissance civile dans le pays.

Des experts en réflexions pour mobiliser des fonds et garantir les produits contraceptifs en Côte d’Ivoire

Le Fonds des Nations-Unies pour la population (UNFPA) et le ministère ivoirien de la Santé et de l’hygiène publique ont ouvert mardi à Grand-Bassam (Sud-est d’Abidjan), un atelier pour élaborer un plan d’action pays à l’effet de mobiliser des ressources en vue de la sécurisation des produits contraceptifs et de la planification familiale en Côte d’Ivoire.Ce conclave dénommé «Atelier de mobilisation et d’orientation des acteurs sur la mise en œuvre du Matching Fund Grant en Côte d’Ivoire» a, entre autres, pour objectifs de présenter la situation de la mobilisation des ressources pour l’achat de produits contraceptifs en Côte d’Ivoire et élaborer un plan d’action pays pour le cadre de concertation et de coordination pour le renforcement de la mobilisation des ressources domestiques.

« La Côte d’Ivoire veut tirer profit de son dividende démographique. Et la santé Mère-enfant est un axe stratégique de son développement », a dit dans un discours d’ouverture de ces assises, Pr Mamadou Samba, le directeur général de la santé. 

Rappelant l’objectif de la Côte d’Ivoire qui est d’avoir une prévalence contraceptive de 36%, Pr Samba a regretté que malgré les efforts du gouvernement ivoirien, les défis de la santé mère-enfant « restent importants » dans le pays. Toutefois, il a estimé que la Côte d’Ivoire est dans la « bonne dynamique ».

Pr Samba a conclu son adresse en insistant sur la nécessité de renforcer le plaidoyer pour sécuriser les produits contraceptifs dans le pays et travailler à réduire la mortalité infantile. Avant lui, Alain Akpadji, le représentant adjoint de l’UNFPA en Côte d’Ivoire, a soutenu que la planification familiale est une « porte d’entrée pour le développement, surtout pour le développement de la femme ».

C’est pourquoi, il s’est félicité de la tenue de ce conclave et a réitéré l’engagement de son institution à poursuivre son partenariat avec la Côte d’Ivoire en faveur de la planification familiale. « Cette initiative est une excellente approche qui vient à point-nommé pour booster la planification familiale dans nos pays », a indiqué M. Akpadji.

Cet atelier qui réunit des acteurs du système de santé ivoirien, l’UNFPA, des représentants de plusieurs départements ministériels, des partenaires financiers et techniques ainsi que des organisations de la société civile, durera trois jours.

La région ouest-africaine a la croissance démographique la plus rapide au monde (2,96%) malgré les techniques contraceptives et plus de 64% de la population ouest-africaine a moins de 24 ans. En Côte d’Ivoire, plus de 75% de la population a moins de 35 ans.

Sénégal : l’agriculture et l’industrie pharmaceutique doivent être des secteurs de relance prioritaire (Macky)

L’agriculture et l’industrie pharmaceutique doivent être des secteurs de relance prioritaire de l’économie nationale lourdement affectée par la pandémie du nouveau coronavirus, a déclaré, mardi à Diamniadio (Dakar), le chef de l’Etat sénégalais, Macky Sall.Jugeant « inadmissible » que l’on importe encore des seringues ou du coton sanitaire, le président Macky Sall a indiqué « qu’il est temps que certains médicaments soient fabriqués sur place et que la production rizicole puisse nourrir le Sénégal ». 

S’exprimant à l’ouverture du Conseil présidentiel sur la relance économique, Macky Sall a aussi souligné qu’ « Il nous faut également booster l’industrie et l’économie numérique, le tourisme, le logement en favorisant l’équité sociale et territoriale, mais aussi l’inclusion social ».

Le chef de l’Etat sénégalais a par ailleurs assuré de la poursuite de la politique d’investissement massif dans la réalisation d’infrastructures notamment routières.

« L’Etat ne va pas abandonner sa politique de construction des infrastructures et va les poursuivre dans la mise en œuvre du deuxième Plan d’actions prioritaires(PAPII) du Plan Sénégal émergent(PSE) », a-t-il indiqué.

« La construction des infrastructures va se poursuivre. Nous n’allons pas abandonner la construction d’infrastructures notamment le système routier à travers une articulation des pistes de productions avec routes et les autoroutes », a-t-il dit.

Le coronavirus a révélé des vulnérabilités potentielles qui exposeraient tout pays à de pénuries en cas de rupture de fret ou de rétention de certains produits par les pays exportateurs pour satisfaire leurs propres besoins, a rappelé le président Macky Sall. 

Partant de ce constat, il a indiqué que « ces enseignements doivent  nous pousser à réarticuler nos politiques économiques. D’abord à pouvoir produire ce que nous consommons. Car Il est temps que cette question soit réglée ». 

Par ailleurs, tout en saluant les efforts fournis par les services du fisc pour recouvrer les ressources internes, il a invité les régies financières à œuvrer davantage pour la collecte des impôts et taxes. 

« On ne peut pas continuer à s’endetter si nous-mêmes, on ne peut pas générer les ressources qu’il faut pour assurer le fonctionnement de l’Etat et participer de façon active au financement de l’investissement », a fait remarquer Macky Sall.

A en croire le président sénégalais, aucun partenaire ne peut soutenir durablement un pays qui ne fait pas l’effort de mobiliser son épargne national et de créer ses recettes pour pouvoir être sur une trajectoire vertueuse de développement.

Le chef de l’Etat a par ailleurs signalé que le Plan d’actions prioritaire (PAP II) nécessitant un financement de 22,3 milliards d’Euros ne se substituait pas au Plan Sénégal émergent, lequel demeure la référentielle en matière de développement économique et social du pays. 

L’IPS-CGRAE apporte une subvention à cinq associations des retraités de Côte d’Ivoire

Le directeur général de l’Institution de prévoyance sociale caisse générale de retraite des agents de l’Etat (IPS-CGRAE), M. Abdrahamane Berté, a procédé à Abidjan à la remise de chèques à cinq associations récemment affiliées au Conseil national des retraités de Côte d’Ivoire (CONARECI), rapporte une note d’information transmise à APA, mardi.D’une valeur totale de dix millions FCFA à raison de deux millions FCFA pour chacune des cinq associations, ces chèques représentent la subvention de soutien aux activités du second semestre pour les associations membres du CONARECI qui, en raison des contraintes liées à la pandémie de la Covid-19, n’avaient pas pu fournir à temps, les documents administratifs requis lors des remises de dons de l’IPS-CGRAE au cours du mois d’avril 2020, explique cette note d’information.

Il s’agit de l’Association des retraités des forces armées de Côte d’Ivoire (ARFACI), de l’Association nationale des enseignants à la retraite (ANER), de la Maison fédérale des retraités de Côte d’Ivoire (MAFERECI), de la Mutuelle départementale des retraités de Gagnoa (MUDERGA), et de la Mutuelle des retraités de Bondoukou (MUREB).

Dans son adresse au cours de cette cérémonie de remise qui a eu lieu le 22 septembre dernier, M. Abdrahamane Berté s’est réjoui de l’arrivée de ces nouveaux membres dans « la grande famille des partenaires sociaux dévoués au bien-être des valeureux fonctionnaires et agents de l’Etat à la retraite ».

Le directeur général a rappelé que l’ambition de l’IPS-CGRAE est de rendre à tout fonctionnaire ou agent de l’Etat sa véritable place dans la société, en particulier celle de leader d’opinion disposant d’une influence positive sur les nouvelles générations.

Aussi, a-t-il exhorté les bénéficiaires à faire bon usage de cet appui financier reçu tout en respectant les préconisations de lutte contre la propagation de la pandémie de la Covid-19, afin de vivre une retraite encore plus épanouie.

Les bénéficiaires, par la voix du Président du CONARECI, M. Issa Diakité, ont salué l’acte de haute portée sociale de l’IPS-CGRAE et affirmé que les subventions mises à leur disposition seront rigoureusement utilisées pour soulager les adhérents les plus vulnérables de ses associations dans cette période si sensible.

Dans la même lancée, M. Raymond Ottraud, Président de la Mutuelle départementale des retraités de Gagnoa (MUDERGA), qui a réitéré les remerciements des cinq associations bénéficiaires des chèques, s’est félicité de la bienveillance de l’IPS-CGRAE à l’endroit de ses assurés sociaux, matérialisée notamment par la déconcentration des activités de l’Institution, la réduction du délai de traitement des dossiers et la mise en œuvre prochaine du régime de retraite complémentaire des fonctionnaires et agents de l’Etat.

L’IPS-CGRAE est une personne morale de droit privé, de type particulier chargée de gérer le recouvrement des cotisations sociales, de procéder au paiement des prestations sociales relatives aux régimes obligatoires de pensions civiles et militaires ainsi qu’aux régimes complémentaires ou spéciaux, obligatoires ou volontaires de pensions.

Présidentielle ivoirienne: la liste électorale définitive compte 7.495.082 électeurs pour 10.815 lieux de vote

La liste électorale définitive qui servira pour le scrutin présidentiel ivoirien du 31 octobre prochain compte 7 495 082 électeurs pour 10 815 lieux de vote, a annoncé mardi à Abidjan la Commission électorale indépendante (CEI), l’organe chargé d’organiser les élections en Côte d’Ivoire.« A l’issue du contentieux de la liste électorale, qui du reste a enregistré un nombre significatif de réclamations (13 307 au total), la Commission électorale indépendante est heureuse de vous annoncer qu’elle a arrêté, le jeudi 24 septembre 2020, la liste électorale définitive (LED) qui servira pour la tenue du scrutin présidentiel du 31 octobre 2020 et qui compte 7 495 082 électeurs dont 7 397 413 en Côte d’Ivoire et 97 669 à l’étranger », a annoncé Emile Ebrottié, le porte-parole de la CEI dans un point-presse.

Par ailleurs, l’institution électorale ivoirienne a précisé que le nombre total de lieux de vote est de 10 815 avec 10 759 en Côte d’Ivoire et 56 à l’étranger. Poursuivant M. Ebrottié qui révélait ainsi les statistiques de la liste électorale définitive a fait savoir que le nombre total de bureaux de vote est de 22 381 dont 22 135 en Côte d’Ivoire et 246 à l’étranger. 

Auparavant, le porte-parole de la CEI a souligné une hausse de 13,6% du nombre d’électeurs sur la liste électorale de 2020 et a rappelé que la Commission électorale indépendante a procédé du 15 au 22 septembre 2020, au renouvellement des bureaux de ses Commissions électorales locales en Côte d’Ivoire et à l’étranger. 

La liste électorale provisoire ivoirienne de 2020, rappelle-t-on,  était de 7 503 095 électeurs avec 907 305 nouveaux inscrits. L’élection présidentielle ivoirienne est constitutionnellement prévue en Côte d’Ivoire, le 31 octobre prochain.

Décès de l’émir du Koweït cheikh Sabah Al-Ahmad Al-Sabah

L’émir du Koweït cheikh Sabah Al-Ahmad Al-Sabah est décédé, mardi, a annoncé la télévision d’Etat koweïtien à l’âge de 91 ans.Né le 17 juin 1929, le défunt est l’émir du Koweït depuis le 29 janvier 2006, date de sa confirmation par l’Assemblée nationale.

Premier ministre de juillet 2003 à janvier 2006, il avait occupé le poste de ministre des Affaires étrangères pendant 40 ans, soit de 1963 à 2003.

Véritable homme fort du Koweït qu’il dirige de facto depuis plusieurs années, il a accédé au trône après de longues tractations à la suite de la destitution par le Parlement, pour cause d’incapacité, de Cheikh Saad al-Abdallah al-Sabah, le successeur désigné de Jaber III.