RDC: Christophe Mboso élu président de l’Assemblée nationale

Christophe Mboso N’Kodia Pwanga a été élu, mercredi soir, président du bureau définitif de l’Assemblée nationale de la République démocratique du Congo (RDC).Seul candidat en lice, M. Mboso a été élu par 389 voix sur 466 votants lors d’une plénière consacrée à l’élection du bureau définitif de la Chambre basse.

 A 78 ans, il remplace ainsi Jeanine Mabunda destituée le 10 décembre 2020.

Christophe Mboso N’Kodia Pwanga place la lutte contre la pauvreté au centre de ses objectifs. Il s’engage aussi à promouvoir l’état de droit où l’égalité est garantie à tous.

La Côte d’Ivoire compte près de 20 mille policiers en 2021 (Ministre)

Le ministre ivoirien de la communication et des médias, par ailleurs, porte-parole du gouvernement ivoirien, Sidi Tiémoko Touré a annoncé mercredi la création de l’école de police de Korhogo ( Nord), la deuxième du pays après celle d’Abidjan, révélant que la Côte d’Ivoire compte 19 993 policiers en 2021, un effectif en deçà de la norme requise.

« Il y a eu une étude sur la réalisation d’une loi de programmation de la sécurité intérieure qui recommande un ratio d’un policier pour 400 habitants, c’est-à-dire un effectif à terme selon la loi de programmation de 26 701 agents sur toute l’étendue du territoire national. Et en 2016, lors de l’évaluation de cette loi de programmation, l’on dénombrait 16 853 policiers en activité. Et en 2021, 19 993 agents, c’est à dire en deçà des effectifs requis», a fait savoir M. Touré. 

Il s’exprimait au terme d’un Conseil des ministres présidé au palais présidentiel d’Abidjan par le chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara.

 Auparavant, le porte-parole du gouvernement ivoirien a expliqué que l’école de police de Korhogo, créée près de 50 ans après celle d’Abidjan,  « permettra de renforcer non seulement les capacités d’accueil et de formation des personnels de la police nationale, mais également d’augmenter le nombre des agents de police en quantité et en qualité conformément aux standards internationaux».

Campagne cajou 2021: la Côte d’Ivoire fixe un prix plancher « obligatoire » de 305 Fcfa/Kg

Le gouvernement ivoirien a fixé mercredi, en Conseil des ministres, un prix plancher « obligatoire » de la noix de cajou à 305 Fcfa le kilogramme (Kg) pour la campagne de commercialisation 2021 qui s’ouvre le 5 février 2021, a annoncé son porte-parole Sidi Touré.

« Pour la campagne de commercialisation 2021 des noix de cajou qui s’ouvre le 5 février 2021, le Conseil a approuvé le prix plancher obligatoire de 305 Fcfa le Kg aux producteurs pour la noix de cajou bien séchée, bien triée et ne comportant aucune matière étrangère », a dit M. Sidi Touré à la presse.

Sur la base d’un prix CAF (Coût-assurance-fret) de référence de 1.300 UD dollars (709 145 francs CFA) la tonne, le prix minimum bord-champ avait été fixé à 400 Fcfa par Kg en hausse de 25 Fcfa par Kg par rapport à 2019.

Le prix bord champ pour la campagne cajou 2021 connaît une tendance baissière liée à la pandémie de la Covid-19.  Selon le porte-parole du gouvernement ivoirien, le prix de 305 Fcfa/Kg a été possible grâce à une réduction du DUS de 7% à 5% du prix CAF de référence.

Face à la tendance baissière du prix bord-champ, liée à la pandémie de la Covid-19 qui a entraîné une baisse du prix des amendes, le gouvernement ivoirien a apporté un appui à la filière cajou à travers l’octroi d’une subvention de 100 Fcfa puis 200 Fcfa/Kg pour maintenir le prix aux producteurs.

Cet appui s’est établi à un montant total de 34,2 milliards Fcfa qui a permis l’enlèvement de 264.985 tonnes de noix de cajou au prix minimum. En plus, une subvention de 168 Fcfa par Kg a été accordée pour aider à combler le déficit de compétitivité des consommateurs locaux, soit un total provisoire de 3,264 milliards Fcfa perçus par 11 transformateurs qui ont produit et commercialisé 4060 tonnes d’amende, équivalent à 20 400 tonnes de noix brutes.

Au terme de la campagne 2020, une production de 848 700 tonnes a été commercialisée contre 634 631 tonnes en 2019 soit une hausse de 33%. En outre, avec le prix moyen bord-champ de 350 Fcfa par Kg, 297 milliards Fcfa ont été distribués aux producteurs contre 238 milliards Fcfa en 2019.

Afin de consolider les acquis de la réforme de la filière, le Conseil a décidé notamment de la poursuite du mécanisme de soutien aux acteurs nationaux pour renforcer leur capacité de mobilisation de financement.

Le Conseil a instruit les services chargés de la protection des frontières à l’effet de prendre toutes les mesures de lutte contre la fuite des noix par les frontières terrestres. Malgré ces mesures qui incitent à l’optimisme, la campagne a été fortement perturbée par les effets de la pandémie de la Covid-19.

Affaire la Côte d’Ivoire visée par Al-Qaïda: «Nous maintenons la vigilance permanente» ( Sidi Touré )

Le gouvernement ivoirien a assuré mercredi qu’il maintient la «vigilance permanente » après des révélations de Bernard Émié, le patron du renseignement français qui a annoncé que le groupe terroriste Al-Qaïda veut viser la Côte d’Ivoire et le Bénin.

«Nous constatons qu’il y a une annonce qui vient enfoncer une porte qui est déjà ouverte. Nous étions suffisamment alertés déjà depuis plusieurs années de la menace terroriste que subit notre région… Nous maintenons la vigilance permanente concernant cette problématique de terrorisme», a indiqué Sidi Tiémoko Touré, le porte-parole du gouvernement ivoirien à l’issue d’un Conseil des ministres. 

Poursuivant, M. Touré qui est par ailleurs, le ministre ivoirien de la Communication et des médias, a soutenu que des dispositions ont été prises pour sécuriser les biens et les personnes en Côte d’Ivoire contre la survenue de quelques initiatives terroristes.  

«  Depuis des années des dispositions ont été prises pour faire face à quelque menace que ce soit », a promis M. Touré qui répondait à la préoccupation d’un journaliste lors de la conférence de presse qui a sanctionné ce Conseil des ministres. 

En début de semaine, Bernard Émié, le patron de la direction générale de la sécurité extérieure française a affirmé que le groupe terroriste Al-Qaïda a un  «projet d’expansion » vers les pays du Golfe de Guinée et  «finance déjà des hommes qui se disséminent en Côte d’Ivoire ou au Bénin». 

Législatives ivoiriennes: la campagne électorale s’ouvre le 26 février prochain ( Officiel)

Quelque 22135 bureaux vote seront ouverts sur l’ensemble du territoire ivoirien pour les élections législatives du 06 mars prochain dont la campagne électorale débutera le 26 février 2021 à 00h et s’achèvera le 04 mars 2021 à minuit, a appris APA mercredi de source officielle dans la capitale économique ivoirienne.

« Sur proposition de la CEI ( organe électoral), 205 circonscriptions électorales ont été créées  pour 255 députés, 10 759 lieux de vote, et 22 135 bureaux de vote sont prévus sur l’ensemble du territoire national. La campagne électorale est ouverte le vendredi 26 février 2021 à 00h et close le jeudi 04 mars 2021 à minuit», soit sept jours de campagne, a annoncé Sidi Tiemoko Touré, le porte-parole du gouvernement ivoirien à l’issue d’un Conseil des ministres présidé par le chef de l’Etat Alassane Ouattara. 

Dimanche dernier, la Commission électorale indépendante ( CEI, organe électoral) a publié une liste provisoire de 1266 candidatures  retenues pour ce scrutin législatif ivoirien du 06 mars prochain.

Présidentielle nigérienne : un recalé se rallie à Mohamed Bazoum

Le Mouvement National pour la Société de Développement (MNSD Nassara) soutient formellement le Parti Nigérien pour la Démocratie et le Socialisme (PNDS Tarayya) pour le second tour de la présidentielle du 21 février prochain.Mohamed Bazoum, dauphin du président sortant Mahamadou Issoufou, touche le gros lot. En effet, le Bureau politique national du MNSD Nassara, dans une déclaration datée du 3 février, « décide (de lui) apporter son soutien ».

Pour prendre une telle décision, ce parti classé 3e à l’issue du premier tour avec 8,95 % des suffrages valablement exprimés, a pris en compte « le contexte actuel marqué par de nombreux défis persistants en l’occurrence la situation sécuritaire nationale et régionale ».  

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Dans ce sens, le Mouvement National pour la Société de Développement a constaté « la similitude entre le programme du PNDS Tarayya et celui du MNSD Nassara ainsi que l’engagement de (Bazoum) à accorder une importance de premier ordre aux questions de sécurité, d’équité, d’accès aux services sociaux de base, de développement rural inclusif et de bonne gouvernance en cas de victoire ».

Tout compte fait, la formation politique de l’ancien Premier ministre Seïni Oumarou est désireuse « de poursuivre sa collaboration avec le PNDS Tarayya dans un esprit de loyauté, de confiance mutuelle et d’engagement résolu à promouvoir un développement humain équitable et accéléré pour nos vaillantes populations ». 

Par conséquent, elle exhorte ses « militantes et militants, sympathisantes et sympathisants, ainsi que ceux de ses alliés de l’Alliance pour la Paix et la République (APR), à sortir massivement le 21 février pour voter en faveur de Mohamed Bazoum en vue d’une victoire éclatante ».  

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Le MNSD Nassara s’est réuni, ce mercredi à Niamey (Niger), en session extraordinaire au siège du parti. Le Bureau politique national a profité de cette occasion pour prendre « acte de la proclamation, par la Cour constitutionnelle, des résultats définitifs du premier tour de l’élection présidentielle ».  

En outre, le Mouvement Patriotique pour la République (MPR Jamhuriya), 4e au classement du premier tour avec 7,07 %, aurait porté son dévolu sur M. Bazoum. Selon une source anonyme, le parti d’Albabé Abouba devrait, dans les prochaines heures, donné sa consigne de vote en faveur de l’ex-ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique.

RDC : 849 civils tués en 2020 (ONU)

Le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme (HCDH) se dit consterné par le meurtre de 849 civils en 2020 dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC).Parmi les civils tués lors d’attaques imputables aux Forces alliées démocratiques, 381 ont été tués entre dans la première moitié de l’année dernière, rapporte le HCDH.

Ces drames ont eu lieu dans les provinces d’Ituri et du Nord Kivu en 2020. Il s’agit généralement de meurtres commis par des combattants rebelles des Forces alliées démocratiques (ADF) dans les territoires de Beni (province du Nord-Kivu), d’Irumu et de Mambasa (province de l’Ituri). Ce groupe armé, originaire de l’Ouganda, sévit depuis plus de vingt ans dans l’est de la RDC.

« Étant donné la nature étendue et systématique de l’attaque dirigée contre la population civile, certaines des violations des droits de l’homme documentées peuvent constituer des crimes contre l’humanité », a déclaré lors d’un point de presse à Genève, une porte-parole du HCDH, Marta Hurtado.

Ces violences se sont d’ailleurs poursuivies au début de cette année. Le 13 janvier dernier, à Walese Vonkutu, dans le territoire d’Irumu, un « groupe d’hommes inconnus » a attaqué la communauté Twa et tué au moins 14 personnes, dont deux femmes enceintes. Cette attaque a fait suite à une autre attaque à Walese Vonkutu un mois plus tôt, où 10 personnes ont été tuées et 30 autres ont été kidnappées.

Selon le HCDH, 468 autres victimes ont été recensées entre juillet et décembre 2020. Au cours du second semestre, quatre femmes ont été victimes d’abus sexuels de la part de combattants des ADF.

La seconde moitié de 2020 a été aussi caractérisée par un certain nombre d’attaques de représailles des ADF contre la population civile dans des territoires précédemment contrôlés par ce groupe armé. Ces attaques ont entraîné des déplacements massifs de population dans la région.

Au moins 47 civils tués en 2020 par les forces de sécurité et de défense congolaises. « On a également constaté une augmentation du nombre de civils enlevés pour effectuer des travaux forcés », a ajouté Mme Hurtado, relevant que 534 civils ont été kidnappés l’année dernière, dont 457 sont toujours portés disparus.

Face à ce sombre tableau décrit par le rapport, la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en RDC (MONUSCO) et le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH) demandent aux autorités congolaises de tout faire « pour garantir que les forces de sécurité agissent en conformité avec les standards des droits de l’homme et du droit international humanitaire ».

Le rapport souligne la nécessité de faciliter l’accès à la justice pour les victimes, et l’aide humanitaire pour les survivants, y compris ceux qui sont déplacés par les violences.

L’ONU encourage également les autorités de Kinshasa à s’engager, par le biais du cadre de coopération judiciaire, à freiner la criminalité transfrontalière. Il s’agit de faire en sorte que « les auteurs de crimes affiliés aux ADF et à d’autres groupes armés qui cherchent refuge dans les pays de la région, en particulier en Ouganda, soient traqués et traduits en justice ».

MEDI TV braque ses projecteurs sur les juifs du Maroc

La chaîne d’informations en continu diffusera, sur ses canaux linéaires et numériques, une émission exceptionnelle sur les expressions culturelles de la composante juive de l’identité marocaine.MEDI 1 TV, dans un communiqué reçu à APA, explique que cette initiative intitulée Tamaghrabit « relève (de son projet) culturel pour revisiter la diversité et la richesse culturelles du patrimoine marocain, et refléter l’esprit de tolérance qui caractérise et rassemble la société marocaine dans sa diversité culturelle ».

Poursuivant, le groupe médiatique basé à Tanger soutient que ce programme « permettra aux téléspectateurs et internautes au Maroc et ailleurs de redécouvrir l’apport de la culture juive dans l’identité marocaine ».

Dans le but d’atteindre cet objectif,  un plateau de deux heures en direct sera le cadre d’expression d’invités prestigieux : artistes, universitaires, historien, personnalités publiques et citoyens du monde.

Le menu de l’émission spéciale de ce mercredi 3 février, à partir de 21h00 GMT+1, sera composé « de témoignages exclusifs, de reportages et d’images inédites, symboles de la présence juive millénaire au Maroc ».

Tamaghrabit sera diffusée en arabe simultanément sur les canaux Maghreb et Arabic, et en version française à la même heure sur le canal Afrique et à 23h00 sur le canal Maghreb.

AG de l’OMT à Marrakech : Le Maroc et l’Organisation mondiale de tourisme signent une lettre d’intention

Le Maroc et l’Organisation Mondiale du Tourisme (OMT) ont signé, mercredi à Rabat, une lettre d’intention relative à la tenue de la 24ème session de l’Assemblée générale de l’OMT à Marrakech au Maroc au 4ème trimestre 2021.Signée par la ministre marocaine du Tourisme de l’Artisanat, du Transport Aérien et de l’Economie Sociale, Mme Nadia Fettah et le Secrétaire général de l’Organisation Mondiale du Tourisme (OMT), Zurab Pololikashvili, ont signé, mercredi à Rabat, ce document vient donner un signal fort et un message d’espoir à la communauté touristique internationale et aux opérateurs touristiques marocains en particulier, d’autant plus qu’elle coïncide avec le démarrage des campagnes de vaccination à travers le monde.

Lors de cette cérémonie, la ministre marocaine du Tourisme a indiqué que le Royaume est fier et honoré de rassembler la grande famille du tourisme à Marrakech en 2021, à l’occasion de la tenue de la 24ème session de l’Assemblée Générale de l’OMT, en soulignant la mobilisation totale de son département de concert avec les parties prenantes concernées pour le bon déroulement de cette manifestation touristique planétaire.

Elle a souligné que le secteur touristique au Maroc, à l’instar d’autres pays à travers le monde, a bénéficié d’un contrat programme qui a été signé le 6 août 2020 ainsi que d’un avenant signé le 06 janvier 2021 et qui a permis de soutenir ce secteur durement touché par cette pandémie inédite qui n’a épargné aucune destination dans le monde entier.

La ministre a aussi mis en relief la contribution active du Maroc aux initiatives de l’OMT portant sur la formation et l’éducation dont notamment les travaux du Comité de l’OMT pour la formation en ligne dans le secteur du Tourisme « Tourism Online Education » sachant que le Maroc constitue aux côtés du Kenya, un membre représentant le continent africain, au sein de ce comité, eu

égard à son important rôle en matière de formation hôtelière et touristique.

Elle a aussi rappelé que le Maroc a été un des premiers pays sur le plan continental à lancer sa campagne de vaccination, le 28 janvier 2021, une campagne qui se déroule dans un climat de mobilisation de toutes les composantes de la société et dont les premiers résultats sont fort encourageants.

De son côté, le secrétaire général de l’OMT, qui effectue sa première visite officielle au Maroc a mis en exergue les relations de coopération privilégiées qu’entretiennent le Royaume et l’OMT dans le domaine touristique.

Selon lui, la prochaine Assemblée générale de l’OMT qu’accueillera le Maroc en 2021 sera historique et que l’OMT ne ménagera aucun effort pour en faire l’un des évènements post-pandémie les plus réussis, précisant que la rencontre de Marrakech sera l’occasion de discuter de l’avenir du secteur touristique durement touché par la crise sanitaire, et que les États membres de l’organisation et les représentants du secteur privé seront invités à y répondre présent.

Il a également souligné que le Maroc est une excellente destination à promouvoir et un modèle dans le secteur du tourisme, mettant en avant la grande expérience du Royaume dans le domaine du tourisme.

Cette séance de travail tenue entre la délégation de l’OMT et son homologue marocaine a été aussi l’occasion de discuter de l’état du secteur touristique au Maroc et dans le monde dans le contexte marqué par la crise COVID-19.

Le Maroc a été élu, lors de la 22 ème Session de ladite Assemblée qui s’est tenue en septembre 2019 à Saint-Pétersbourg en Russie, avec un total de 74 voix contre respectivement 17 et 11 pour le Kenya et les Philippines, rappelle-t-on.

Covid-19: l’Ethiopie lance la campagne «No Mask No Service»

L’Ethiopie a officiellement lancé la campagne nationale « No Mask No Service » (le masque ou rien) dans le cadre d’efforts visant à lutter contre la pandémie de coronavirus dans le pays.Cette mesure, qui sera effective dès mardi dans toutes les écoles du pays, est jugée d’une importance capitale pour freiner la propagation du virus dans les écoles et protéger ainsi le processus d’enseignement et d’apprentissage des perturbations dues à cette pandémie.

À cette occasion, les élèves sont invités à respecter la mesure de port de masque en dehors des écoles afin de protéger la communauté.

Le ministre d’état à l’Education, Haregua Mamo, a déclaré que la communauté avait fait preuve de négligence à l’égard des mesures contre la pandémie, car la propagation du virus s’intensifie de manière alarmante, et a appelé la communauté à s’en tenir aux gestes barrières.

Le ministère a indiqué que 106 nouveaux cas ont été enregistrés au cours des dernières 24 heures, ce qui porte le nombre de décès à 122.968 à l’échelle nationale.

L’Ethiopie, deuxième pays le plus peuplée d’Afrique, est l’un des pays les plus touchés par la Covid-19 en Afrique, après l’Afrique du Sud, le Maroc, la Tunisie et l’Egypte.

Le pays a jusqu’à présent enregistré le plus grand nombre de cas Covid-19 positifs dans la région de l’Afrique de l’Est.

ARISE IIP nomme un comité consultatif composé d’éminents leaders

Arise Integrated Industrial Platforms (ARISE IIP), un développeur et opérateur panafricain de parcs industriels de classe mondiale, engagé dans la transformation économique du continent, vient de nommer un prestigieux comité consultatif comprenant cinq éminents leaders.

Ce comité consultatif est composé d’esprits brillants issus des secteurs public et privé dont l’expérience et les compétences combinées permettront de façonner et d’accélérer la stratégie de croissance d’ARISE IIP, indique l’entreprise dans une note transmise à APA.   

Il a pour mission de fournir une plateforme pour soutenir et guider l’entreprise dans les prochaines phases de son développement, tout en mettant à la disposition de la direction un support et du conseil de haut niveau en matière d’industrialisation, de durabilité, de digitalisation et d’intégration régionale.

Au cours de ces dernières années, l’entreprise a connu une expansion remarquable en Afrique de l’Ouest avec le développement de zones industrielles sur mesure, accélérant l’industrialisation du continent africain.

L’objectif principal de la direction de l’entreprise a toujours été la création d’écosystèmes industriels visant à générer une forte valeur ajoutée locale ainsi qu’une croissance durable. Dans cet élan, les dirigeants continuent à déployer avec succès une stratégie de croissance.  

Le comité stratégique d’ARISE IIP comprend Colin Coleman, ancien Partner et PDG Afrique subsaharienne chez Goldman Sachs. Il est maître de conférences au Jackson Institute for Global Affairs de l’université de Yale.

M. Colin est également membre du Conseil d’administration du groupe Foschini et coprésident Youth Employment Service. Il cumule une forte expérience qui permettra avec les autres membres du comité de concevoir une stratégie en vue du développement de l’entreprise.   

L’ancien diplomate français de haut rang, Bruno Delaye, fait partie de ce comité. Président d’Entreprise et diplomatie, une branche du groupe ADIT, leader européen de l’intelligence stratégique, il possède une vaste expérience dans le conseil stratégique aux entreprises opérant en Afrique.

Laureen Kouassi-Olsson, la seule femme de ce comité, est une dirigeante expérimentée dans le secteur des services financiers et du capital-investissement en Afrique. Ses huit dernières années, elle les a passées en tant que directrice d’investissement à Amethis, un fonds d’investissement français.

Elle est la fondatrice et la directrice générale de Birimian, une holding d’investissement à long terme dédiée aux marques africaines. Laureen siège par ailleurs au Conseil d’administration de plusieurs institutions financières de premier plan sur le continent.

Carlos Lopes, professeur à l’Université du Cap et à Sciences Po Paris, est membre d’une dizaine de Conseils d’administration. Il a dirigé plusieurs institutions des Nations Unies, dont la Commission économique pour l’Afrique.

Cet éminent économiste a été à l’avant-garde de projets d’intégration économique tels que la zone de libre-échange continentale africaine, la réforme de l’Union africaine ou l’établissement de nouveaux partenariats avec l’Union européenne.  

Le conseiller principal du PDG de Total, Momar Nguer, a été coopté pour intégrer ce comité consultatif. Ex-membre du comité exécutif du géant français du pétrole et du gaz, Momar a beaucoup travaillé sur tout le continent où il a une bonne connaissance du marché.  

Précédemment directeur général chargé du marketing et des services de Total, Momar Nguer a contribué aux principales initiatives de la société en matière d’énergie verte. Cette expérience sera une plus-value pour les objectifs de l’entreprise.      

« Leur expertise combinée dans les domaines clés de la finance, du commerce et des relations gouvernementales, jouera un rôle précieux dans l’orientation des décisions stratégiques », a déclaré Gagan Gupta , cofondateur d’ARISE IIP.

« Je suis persuadé que nos conseillers vont nous aider à saisir de nouvelles opportunités afin de réaliser des projets à grande échelle qui transformeront les chaînes de valeur locales et l’industrialisation de manière durable », a-t-il ajouté.      

Avec son pool d’expertises, ARISE IIP a la capacité de concevoir et de réaliser des plateformes logistiques au profit d’acteurs publics et privés dans leur transition vers une économie industrielle, en identifiant les opportunités dans les chaînes de valeur commerciales et industrielles.  

Son ambition est de libérer le potentiel industriel du continent tout en neutralisant les émissions de carbone et leur impact sur le climat. L’entreprise est présente au Bénin (GDIZ), au Togo (PIA) et au Gabon (GSEZ), où la GSEZ a été classée meilleure zone économique spéciale du monde dans le secteur du bois (classement 2020 du FDi).

La presse à fond sur le retour de l’épidémie de la fièvre jaune

Les quotidiens sénégalais, parvenus ce mercredi à APA, sont revenus en grande majorité sur le retour de l’épidémie de la fièvre jaune au Sénégal.Avec l’apparition de la fièvre jaune, L’AS évoque « une autre épidémie qui menace le Sénégal » après la Covid-19 . « Huit cas de fièvre jaune dont deux morts » ont été déjà enregistrés dans le pays souligne, le journal.

Covid-19, grippe aviaire, fièvre jaune, « (le Sénégal) à la croisée des périls », titre Walf Quotidien. Le journal indique que le pays est cerné par la maladie, alors qu’il est étouffé de partout par la Covid-19 et la grippe aviaire.

L’Observateur parle « d’un pays dans un triangle de feu » encerclé par l’épidémie de la Covid-19, de la grippe aviaire et désormais de la fièvre jaune. Le journal nous en dit plus sur « la stratégie de l’Etat pour enrayer les menaces épidémiques qui pèsent sur les populations ».

Concomitance de plusieurs maladies, « le Sénégal rit jaune », renchérit Le Quotifdien qui informe que la fièvre jaune est venue s’ajouter à la Covid-19 et à la grippe aviaire.

Le Sénégal confronté à un autre fléau relate Vox Populi qui remarque « qu’après la Covid-19, la fièvre jaune revient et tue ». Huit cas ont été détectés dans le pays et deux morts dénombrés à Kidira (est du Sénégal). « Touba, Saraya et Thilogne sont aussi touchés », annonce le journal.

Pour rester dans le contexte sanitaire et les effets néfastes de la Covid-19, Walf Quotidien soutient que « ça sent mauvais pour l’entreprise ». Le journal fait état de « licenciements tous azimuts » en informant que « le tourisme et l’hôtellerie sont en réanimation et les artifices de l’Etat n’y ont rien pu ».

EnQuête consacre un dossier sur l’école confrontée à un déficit d’infrastructures et de matériel en cette période de Covid-19. Le journal révèle que « dans cette période de pandémie, la règle est de s’asseoir par trois ou quatre dans certains établissements ». D’où le titre du journal, « l’école (sénégalaise), cette poudrière.»

Sud Quotidien de son côté, se penche sur un phénomène récurrent au Sénégal qu’est « l’usurpation de fonction». Faux policiers, gendarmes, magistrats, le journal le résume en un « business des hors-la-loi ».  Pendant que « la société civile sonne l’alerte, les citoyens sont invités à s’imprégner de leurs droits.»

Libération s’arrête sur « la guerre totale » qui oppose Me Moussa Diop et Dakar Dem Dikk (société de transport public), dont il était le directeur. Le journal renseigne « qu’après l’ordonnance du juge, l’ex-directeur général a pratiqué une saisie sur les comptes de la société nationale ». Le journal ajoute que « Dakar Dem Dikk contre-attaque et l’assigne devant le président du tribunal ». Les deux parties feront face au juge le 5 février prochain, souligne Libération.

Conflis fonciers au Sénégal, L’AS nous informe que les hommes d’affaires, « Cheikh Amar, Diop Sy et Marcel Diagne (sont) au cœur des litiges à répétition » selon le répertoire des litiges fonciers et conflits communautaires du ministre de l’Intérieur.

En Sport, Stade revient sur la deuxième demi-finale aller de la Coupe d’Italie programmée ce mercredi. Le quotidien sportif informe que Kalidou Koulibaly affronte l’Atalanta pour une place en finale dont l’adversaire pourrait être la Juventus, tombeuse de l’Inter Milan, dans la première demi-finale aller au stade San Siro 1-2.

Social, économie et environnement au menu des quotidiens marocains

La contribution sociale de solidarité, la promotion du « made in Morocco », la coopération Maroc-Portugal en matière d’énergie propre et la relance de l’économie nationale sont les principaux sujets traités par les quotidiens marocains parus ce mercredi.+Aujourd’hui le Maroc+ assure que « l’impôt est une des formes de solidarité. La nouvelle contribution sociale instaurée par la Loi de Finances 2021 en est une autre », ajoutant que cette solidarité peut s’exprimer de manière spontanée comme elle peut être stimulée, organisée, voire forcée, à travers des dispositions institutionnelles, légales, réglementaires ou autres.

Les recettes tirées de ce nouvel impôt sont censées renforcer les finances publiques pour faire face à la nécessité de venir en aide aux catégories les plus défavorisées et parmi elles les travailleurs du secteur informel, explique le journal, relevant que ce secteur existe, car des opérateurs délinquants continuent encore à défier les lois pour échapper à leurs responsabilités envers la communauté.

« La fraude économique, sociale ou fiscale n’est pas seulement un délit au regard des lois mais une atteinte majeure aux fondements et équilibres de la société. C’est là le vrai danger… », conclut-il.

+L’Economiste+ écrit : « oui au soutien à la production nationale. S’il convient de la nécessité de soutenir la production nationale, le chef du gouvernement fait cause commune et, à juste titre, avec l’indispensable sursaut de compétitivité ».

L’explication à une partie du déficit de la balance commerciale est à chercher dans l’absence de produit de substitution et dans la persistance de problèmes de qualité, constate la publication, notant que la bataille est loin d’être gagnée sans des stratégies de montée en gamme vers des produits premium et de luxe et qui requièrent d’être attractif hors-prix en se différenciant par l’innovation ou la qualité de service par exemple.

« Or, il ne faut pas se faire d’illusion, le marché local aura valeur de test pour les entreprises qui rêveront de jouer dans une division supérieure, c’est-à-dire d’exporter », fait-il remarquer.

+Al Bayane+ rapporte que le Maroc et le Portugal ont signé une déclaration de coopération sur l’hydrogène vert afin de mettre en place les bases nécessaires pour développer le partenariat dans cette filière d’énergie propre entre les acteurs économiques des deux pays.

Dans cette déclaration conjointe, signée par le ministre de l’Energie, des mines et de l’environnement, Aziz Rabbah et son homologue portugais, Matos Fernandes lors d’une cérémonie organisée par visioconférence, les deux parties reconnaissent l’opportunité stratégique représentée par la décarbonisation de l’économie et la transition vers l’énergie verte en tant que facteurs mobilisateurs et catalyseurs pour le développement durable, ainsi que l’importance de l’hydrogène vert en tant que source d’énergie plus propre et plus accessible pour l’avenir des économies des deux pays, avec des avantages irréfutables pour la durabilité environnementale, fait savoir le quotidien.

+Al Alam+ cite une déclaration du chef du gouvernement, Saad Dine El Otmani qui a indiqué que l’exécutif œuvre à rehausser la valeur ajoutée du produit national, dans le but de ramener les importations annuelles de 183 milliards de DH (1 euro = 10,7 DH) à 149 milliards DH à fin 2023.

Répondant à une question centrale sur « la politique gouvernementale d’appui au produit national », El Otmani a souligné que ce chantier vise à accompagner quelques 500 projets productifs pour atteindre cet objectif, précisant que le ministère de tutelle a reçu 634 projets, dont 259 retenus, représentant une opportunité de substitution à des importations d’une valeur de 17,4 milliards DH, soit 51% de l’objectif fixé.

Maroc : Le nombre de personnes vaccinées s’élève à 257.291 (ministère)

Le nombre de personnes vaccinées au Maroc s’élève à 257.291, dont 57.210 pour la seule journée de ce mardi, annonce le ministère de la Santé dans son bulletin quotidien.La situation pandémique a connu, elle, une légère détérioration avec 835 nouveaux cas de contamination au coronavirus, portant le cumul à 472.273 cas, soit 1.299,5 par 100.000 habitants. Sur les dernières 24h, l’incidence est de 2,3 cas par 100.000 habitants.

Quant au décès, ils sont au nombre de 22 qui ont été enregistrés ce mardi, portant le cumul à 8.309 décès et le taux de létalité à 1,8%, indique le ministère, ajoutant que 795 nouvelles guérisons ont été annoncées, soit un total de 450.847 guérisons et un taux de rémission de 95,5%.

Le nombre de cas actifs augmente ainsi à 13.117 cas, dont 676 cas sévères ou critiques.

Maroc-Mauritanie : Mise en place d’un cadre commun des droits de l’Homme

Le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) et la Commission nationale des droits de l’Homme, en Mauritanie, ont signé un mémorandum d’entente visant à instaurer et développer un cadre de coopération et de concertation entre les deux parties, indique mardi un communiqué du CNDH.Signé par la présidente du CNDH, Amina Bouayach, et le président de la Commission nationale des droits de l’Homme en Mauritanie, Ahmed Salem Bouhoubeyni, ce mémorandum d’entente, se propose de concrétiser la vision commune des deux institutions, à savoir le soutien aux initiatives de promotion et de protection des droits de l’Homme, ajoute la même source.

En effet, plusieurs domaines de coopération sont identifiés notamment l’échange d’expériences, de connaissances, d’expériences et de bonnes pratiques, ainsi que la consolidation du dialogue bilatéral pour déterminer les mesures de mise en œuvre des droits de l’Homme, tels qu’universellement connus.

Il s’agit également du renforcement de la capacité des membres et personnel des deux institutions, notamment dans les domaines d’observation, de traitement et suivi des plaintes, l’interaction avec le système international et régional des droits de l’Homme, l’élaboration des rapports, la communication et le plaidoyer, ainsi que la participation aux activités internationales, régionales ou nationales organisées par chacune des deux institutions.

Covid-19: la Côte d’Ivoire enregistre six décès en trois jours

La Côte d’Ivoire qui connaît depuis quelques semaines une recrudescence de cas de Covid-19, a enregistré six décès en trois jours, soit deux décès par jour depuis dimanche, a constaté mardi APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.

Dans son rapport quotidien sur cette pandémie, le ministère ivoirien de la Santé et de l’hygiène publique a indiqué le pays a enregistré ce mardi 132 nouveaux cas de Covid-19, 229 guéris et 02 décès. 

Dimanche la Côte d’Ivoire a enregistré 221 nouveaux cas et 02 décès, quand le bilan de lundi faisait état de 76 nouveaux cas et 02 décès. Ainsi, à ce jour, le pays compte 28607 cas confirmés de Covid-19 dont 26724 guéries, 158 décès et 1725 cas actifs. 

Les chefs d’Etat de la CEDEAO harmonisent leurs points de vue sur le choix du futur président de l’UA

Le président ivoirien Alassane Ouattara et ses pairs de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’ouest ( CEDEAO) ont pris part mardi à un sommet extraordinaire de cette organisation sous-régionale au cours duquel ils ont harmonisé leur point de vue relativement à l’élection du futur président de l’UA.

L’élection du prochain président de l’Union africaine ( UA) aura lieu lors du 34e sommet des chefs d’Etat de cette institution prévu les 06 et 07 février prochains.  

« La  CEDEAO doit se pencher sur des questions importantes sur lesquelles l’Union africaine UA se prononcera. La première question concerne l’élection du Président de l’UA. », a fait savoir L’ivoirien Jean-Claude Brou, le président de la commission de la CEDEAO à l’entame de ce sommet extraordinaire qui n’a  été sanctionné  de communiqué final.

«Il me plaît de rappeler que notre région aura le privilège de diriger notre organisation continentale sur la période 2022-2023. Il revient donc à la CEDEAO d’indiquer à l’Union africaine qui est le pays qui assumera cette responsabilité», a-t-il ajouté. 

 L’autre question à l’ordre du jour de cette réunion, a ajouté M. Brou, est l’élection des membres de la nouvelle commission de l’UA. Plusieurs pays membres de la CEDEAO, a rappelé M. Brou, ont des candidats engagés pour l’élection à la présidence de l’UA. 

Covid-19/Vaccins: la FIFA et l’OMS s’unissent pour l’accès équitable

La Fédération internationale de football association (FIFA) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) se liguent contre le coronavirus.Des stars du football feront la promotion de l’accès mondial équitable aux vaccins, aux traitements et aux produits de diagnostic

« La FIFA s’associe à l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour promouvoir la nécessité d’un accès équitable aux vaccins, aux traitements et aux produits de diagnostic dans le cadre de la lutte contre la COVID-19, et pour encourager chacun à continuer à appliquer au quotidien les mesures de santé publique salvatrices afin de prévenir la propagation du coronavirus et de protéger la santé », rapporte un communiqué publié sur le site internet de l’OMS visité mardi à APA.

Ainsi, parallèlement à la Coupe du monde des clubs de la FIFA 2020, qui se tiendra au Qatar du 4 au 11 février 2021, la FIFA et l’OMS lancent une campagne de sensibilisation du public à laquelle participeront des stars du football. Cette campagne s’effectuera par la diffusion de messages à la télévision et dans les stades, afin de continuer à promouvoir le Dispositif pour accélérer l’accès aux outils de lutte contre la Covid-19.

« Nous devons tous jouer le rôle qui est le nôtre dans la lutte contre le coronavirus. Nous appelons également la communauté internationale à unir ses forces (sous le hastag #ACTogether), et à garantir l’équité en matière d’accès aux vaccins, aux traitements et aux tests de diagnostiques dans le monde entier », a déclaré le président de la FIFA, Gianni Infantino.

Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, a affirmé que « le principe d’équité constitue le fondement du football et de tous les autres sports, et il doit en être de même en ce qui concerne la santé ». 

« En matière de lutte contre la Covid-19, a dit le patron de l’OMS, les règles sont simples : toutes les personnes exposées à un risque, dans tous les pays, doivent avoir un accès équitable aux vaccins, aux traitements et aux produits de diagnostic vitaux. En seulement neuf mois, le monde a mis en place ces trois lignes de défense efficaces contre la COVID-19. Mais notre objectif consiste désormais à assurer un accès équitable et à continuer à améliorer ces outils ».

Il a ajouté : « L’OMS est reconnaissante à la FIFA de s’être associée à des partenaires du secteur de la santé du monde entier en vue de promouvoir la nécessité d’une distribution équitable des outils nécessaires pour vaincre le coronavirus ».

Football ivoirien: la reprise du championnat prévue « le 14 mars » 2021

Le Comité de normalisation de la Fédération ivoirienne de football (FIF) envisage de redémarrer le championnat « le 14 mars » 2021, a dit mardi à la presse Alexis Vagba, l’un des dirigeants de l’Africa Sports.

« Le Comité nous a informé des dispositions qu’il a prises pour organiser le championnat le 14 mars » 2021, a déclaré à la presse M. Alexis Vagba, au sortir d’une rencontre entre des présidents de clubs et l’équipe en charge de la normalisation de la FIF.  

« On a la date et le calendrier est prêt », a-t-il laissé entendre, avant d’ajouter que « le Comité est en train de chercher les moyens (financiers) pour qu’on puisse nous donner une subvention et commencer le championnat ».  

Selon M. Alexis Vagba « l’Africa est prêt (et) a des équipes pour jouer », car si le club « ne joue pas c’est mauvais ». Il s’est dit « partant » en attendant que les ressources soient trouvées par le Comité pour relancer le championnat.   

Deux personnalités se disputent la direction de l’Africa Sports, notamment M. Alexis Vagba et Antoine Bahi, qui soutiennent respectivement Sory Diabaté et Didier Drogba pour l’élection à la présidence de la FIF, créant un bicéphalisme à la tête du club. 

« L’Africa a un président, c’est moi (et) la FIF m’a confirmé président de l’Africa », a lancé M. Vagba face à des journalistes, au du siège de la FIF, où le Comité de normalisation a entamé des consultations avec les clubs et les groupements d’intérêt. 

La FIFA mis en place un Comité de normalisation à la suite d’un blocage dans le processus électoral du président de la FIF. Un bicephalisme était constaté à la tête de l’Africa Sports et le Comité devra résoudre cette question avant l’ouverture du parrainage des clubs.  

Présidentielle nigérienne : les deux finalistes tentent de ratisser large

Mohamed Bazoum et Mahamane Ousmane, en lice pour le second tour de l’élection présidentielle du 21 février prochain, sont dans l’obligation de nouer des alliances.A dix-neuf jours du scrutin, les tractations vont bon train en coulisse. Au sortir du premier acte, le candidat du Parti Nigérien pour la Démocratie et le Socialisme (PNDS Tarayya), Mohamed Bazoum, a récolté 39,3 % des suffrages exprimés contre 16,99 % pour Mahamane Ousmane, chef de file du Rassemblement Démocratique et Républicain (RDR Tchanji).

Par conséquent, le dauphin du président sortant Mahamadou Issoufou et l’ancien président (1993-1996) ne ménagent aucun effort pour obtenir le soutien des recalés. Parmi ceux-ci, l’ex-Premier ministre Seïni Oumarou (3e avec 8,95 %) et Albabé Abouba (4e avec 7,07 %) sont considérés comme les faiseurs de roi.

À lire aussi: Quel bilan pour Issoufou et quels défis pour son successeur?

A ce jour, les leaders du Mouvement National pour la Société de Développement (MNSD Nassara) et du Mouvement Patriotique pour la République (MPR Jamhuriya) n’ont pas encore donné une consigne de vote à leurs militants. Mais selon une source anonyme, initiée aux arcanes de la politique nigérienne, « tout pourrait se décanter d’ici jeudi prochain ».

D’ores et déjà, Bazoum bénéficierait de l’aide du Rassemblement pour la Paix et le Progrès (RPP Farilla) et de l’Alliance Nigérienne pour la Démocratie et le Progrès (ANDP Zaman Lahiya). Ces deux partis, classés 7e et 8e au premier tour, pèsent respectivement 2,47 % et 2,4 % de l’électorat.

Toutefois, l’ancien ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique a un matelas d’avance plus ou moins confortable. En effet, il a recueilli plus d’un million de voix par rapport à son rival, Mahamane Ousmane.

A lire aussi: Présidentielle au Niger: second tour entre Bazoum et Mahamane

Trente candidats ont pris part au premier tour de l’élection présidentielle tenu le 27 décembre dernier. Au total, cinq millions de Nigériens, inscrits sur les listes électorales, ont accompli leur devoir civique. Soit un taux de participation de 69, 67 %.

La campagne électorale a démarré, dimanche dernier, au lendemain de la proclamation des résultats définitifs du premier tour par la Cour constitutionnelle. Elle se termine « l’avant-veille du second tour à minuit ».

Af’Sud : Zuma zappe l’enquête sur l’accaparement de biens publics

L’ancien président sud-africain, Jacob Zuma a déclaré lundi qu’il n’assisterait pas aux sessions de la Commission d’enquête sur l’accaparement des biens de l’Etat, au mépris de l’ordre que lui a donné la semaine dernière, la Cour constitutionnelle du pays de comparaître devant le panel pour répondre aux accusations de corruption.Zuma, qui a quitté l’audience de l’enquête en novembre dernier, a porté son affaire devant le tribunal pour lui demander de l’excuser d’assister aux audiences, car il estimait que le chef de la Commission, Raymond Zondo, avait un parti pris contre lui.

Cependant, la Cour constitutionnelle n’a pas souscrit aux arguments de Zuma, lui réaffirmant que sa présence à la Commission était une « question d’intérêt public » qu’il était obligé d’honorer en tant que témoin.

Mais dans sa déclaration de lundi, Zuma provocateur, a déclaré qu’il n’irait pas aux audiences et qu’il laisserait la loi suivre son cours car il ne craignait pas d’être arrêté.

« Je n’ai pas peur d’être condamné ni d’être incarcéré », a déclaré l’ancien président, ajoutant que la Cour constitutionnelle avait été « politisée ».

Zuma a quitté les audiences de la Commission en novembre 2020 après avoir échoué dans sa tentative de récuser le juge en chef adjoint Zondo comme président de la Commission, en raison de ce qu’il considère comme de la partialité à son égard.

L’ancien chef de l’Etat a déclaré que la Commission présidée par Zondo devrait être rebaptisée « Commission d’enquête sur les allégations d’accaparement de biens publics contre Zuma » car il estimait que toute la procédure lui était destinée.

Ironiquement, l’enquête a été mise en place alors que Zuma était en fonction à la suite du rapport du Médiateur du pays recommandant à l’Etat d’enquêter sur les allégations selon lesquelles ses amis, les frères Gupta, auraient eu des relations de corruption avec des entreprises publiques.

Plus de 30 témoins ont mis en cause Zuma lors de leurs témoignages, nécessitant ainsi sa présence pour réfuter ou confirmer les allégations, a déclaré Zondo.

Covid-19 : Ramaphosa réceptionne les premières doses de vaccin

Le président sud-africain, Cyril Ramaphosa a réceptionné lundi à l’aéroport international OR Tambo de Johannesburg, le premier lot d’un million de doses de vaccin contre le coronavirus.Ramaphosa, le vice-président David Mabuza, le ministre de la Santé Zweli Mkhize et d’autres hauts fonctionnaires ont accueilli les médicaments contre la Covid-19, peu après leur arrivée en provenance de l’Inde.

Réfutant la désinformation concernant l’administration des vaccins, Ramaphosa a précisé qu’aucun Sud-africain ne serait obligé de prendre les injections.

Il a cependant déclaré que son gouvernement avait prévu que le premier million de vaccins serait destiné à vacciner les travailleurs de la santé, à un moment où le pays est en proie à une flambée d’infections alimentée par une nouvelle variante du coronavirus.

« Une fois que nous aurons terminé la vaccination des travailleurs de la santé, nous passerons à la deuxième phase de la stratégie nationale de vaccination qui comprendra les travailleurs essentiels, les personnes de plus de 60 ans et les personnes souffrant de comorbidités (autres maladies).»

La troisième phase du programme de vaccination ciblerait le reste de la population, a-t-il ajouté.

S’exprimant lundi soir à son retour de l’aéroport, Ramaphosa a également annoncé la levée de l’interdiction de la vente et de la distribution d’alcool, une décision saluée par l’industrie du tourisme et ses secteurs connexes, notamment les brasseries et les vignobles à travers le pays.

Ramaphosa a indiqué qu’une baisse du nombre de nouveaux cas de Covid-19 signifiait que le pays pourrait commencer à assouplir certaines des restrictions dans le cadre du confinement actuel qui est de niveau 3.

D’autres développements dans l’assouplissement des restrictions ont trait à la réduction du couvre-feu, l’allocation de seulement 50 personnes lors des rassemblements confessionnels à l’intérieur et la limitation à seulement 100 personnes lorsque les prières ont lieu à l’extérieur, a-t-il déclaré.

Les aventuriers en plein air devraient se réjouir de la réouverture de lieux publics comme les plages, les barrages, les fleuves, les parcs et les piscines publiques, comme annoncé par le président.

« Ces changements ont été rendus possibles par la réduction significative des admissions à l’hôpital dans toutes les provinces, réduisant la pression sur les lits et le personnel hospitalier », a conclu Ramaphosa.

Londres impose des sanctions à quatre officiels zimbabwéens

Le Royaume-Uni a imposé des interdictions de voyage, des gels d’avoirs et d’autres sanctions économiques à quatre chefs de la sécurité du Zimbabwe qu’il accuse d’être responsables de graves violations des droits humains dans ce pays d’Afrique australe.Le ministre britannique des Affaires étrangères, Dominic Raab, a déclaré lundi que son gouvernement avait décidé d’imposer des sanctions au ministre zimbabwéen de la Sécurité de l’Etat, Owen Ncube, au chef des renseignements, Isaac Moyo, au Commissaire général de police, Godwin Matanga et au Commandant de la Garde présidentielle, Anselm Sanyatwe.

« Ces sanctions envoient un message clair selon lequel nous tiendrons pour responsables, les coupables des violations les plus flagrantes des droits de l’homme, y compris la mort de Zimbabwéens innocents », a déclaré Raab dans un communiqué.

Les sanctions signifient que les fonctionnaires ne sont plus en mesure de « se rendre librement au Royaume-Uni, de canaliser de l’argent via les banques britanniques ou de tirer profit de notre économie », a-t-il déclaré, ajoutant que les « mesures restrictives ne ciblent ni ne visent à impacter l’économie au sens large et la population du Zimbabwe ».

Selon Dominic Raab, les quatre dirigeants seraient responsables de la mort de 23 manifestants zimbabwéens depuis 2018.

« Ces personnes seraient responsables des pires violations des droits de l’homme contre le peuple du Zimbabwe depuis que le président Emmerson Mnangagwa a pris le pouvoir en novembre 2017, notamment une répression parrainée par l’Etat contre les manifestations en janvier 2019 qui a entraîné la mort de 17 Zimbabwéens et des violences postélectorales en août 2018, au cours desquelles six manifestants ont perdu la vie », a-t-il expliqué.

Le gouvernement zimbabwéen n’a pas encore réagi à la dernière mesure du Royaume-Uni.

Normalisation FIF: Dao Gabala entame des consultations avec les clubs

La présidente du Comité de normalisation de la Fédération ivoirienne de football (FIF), Dao Gabala, a entamé mardi au siège de l’organisation des consultations avec les clubs et groupements d’intérêt en vue de redémarrer le championnat.

Le Comité a commencé depuis la semaine dernière les concertations en interne et « nous avons écouté l’équipe de management de la FIF, l’ensemble des directeurs départementaux et aujourd’hui nous ouvrons une autre phase de la concertation, celle des acteurs », a dit Mme Dao Gabala à la presse avant les rencontres.  

« Pendant ces journées de concertation qui vont concerner les clubs de D1, D2, D3, les parties prenantes et les groupements d’intérêt, c’est d’abord de les écouter  » relativement à la crise survenue lors du processus d’élection du président de la FIF, a-t-elle précisé. 

Il s’agit de « voir comment remettre le ballon au centre du terrain et dans quelle condition est-ce que nous pouvons redémarrer un championnat le plus rapidement possible, (car) c’est le championnat qui fait vivre le foot, les clubs et de détecter les jeunes talents ». 

Me Simon Adou Abé, dira-t-elle, « aura en charge de voir comment remettre le ballon au centre du terrain et comment redonner aux Ivoiriens ce qu’ils attendent, c’est-à-dire, un ballon qui roule et un championnat qui est en marche ».   

Le Comité de normalisation de la FIF,  installé depuis le 14 janvier 2021 par la FIFA, « est à l’oeuvre, c’est une équipe de mission et l’un des enjeux principaux est de rassembler et de mobiliser la famille du football pour sauver le football ivoirien », a-t-elle poursuivi.  

Mme Dao Gabala a toutefois appelé les populations à soutenir le staff de normalisation dans sa mission, ajoutant « nous souhaitons à la fin de cette mission redonner aux acteurs une maison qui sera nettoyée, propre et dans laquelle eux-mêmes ils seront heureux de vivre ».  

Le Comité de normalisation devra travailler à organiser les clubs, réviser les statuts de la FIF conformément aux textes de la FIFA en vue de l’élection d’un nouveau président de la FIF. Ces consultations avec les clubs sont prévues du 2 au 15 février 2021.  

La presse sénégalaise traite d’une diversité de sujets

Les quotidiens sénégalais, parvenus ce mardi à APA, traitent de divers sujets allant de la hausse des cas de Covid-19 à la politique en passant par les faits de société.Vox Populi présente « le bilan macabre » de la pandémie au Sénégal et parle de 228 morts entre le 1er et le 31 janvier. Le journal ajoute que les « morts de janvier représentent 35% des 638 victimes du virus, soit 1 mort tous les trois jours ».

1032 nouveaux en trois jours note Libération dont 651 issus de la transmission communautaire et 21 décès durant la même période.

Le Soleil parle de « chiffres alarmants entre Kaolack, Touba, Diourbel et Saint-Louis » pour étayer la hausse des cas dans ces régions. Toutefois, le quotidien national informe malgré tout, que « le Sénégal fait partie du groupe de 10 pays africains qui se sont illustrés dans la gestion de la pandémie » de l’indice de performance Covid de Lowy Institute.

Sud Quotidien dans sa livraison du jour, revient sur l’organisation concomitante des législatives de 2022 et de la présidentielle de 2024. Le journal parle de « couplage de la discorde » donnant la parole à Ababacar Fall du Gradec, expert électoral qui indique que « le couplage des élections législatives et présidentielle entraînerait de facto la prorogation du mandat des députés, ce qui serait illégal. »

Le Témoin parle de son côté « d’une manœuvre des frères siamois de Rufisque » pour qualifier les sorties dimanche de Ismaïla Madior Fall et Seydou Diouf en faveur du « couplage des législatives et de la présidentielle ».

L’Observateur revient sur le dialogue politique en évoquant un schéma pour remplacer le Général Mamadou Niang décédé le 28 décembre 2020. A ce titre, le journal renseigne que la commission cellulaire a déjà ciblé des profils pour occuper le poste.

Le Quotidien parle de la mise sous mandat de dépôt de l’ancienne ministre Aminata Lô Dieng pour  «  violation du couvre-feu, outrage à agents et usurpation de fonction. » . Le journal de renchérir, « Lô coule en prison » avant d’informer qu’Aminata Lô Dieng et son frère vont passer devant le juge ce mercredi.

Walf Quotidien se penche sur la fortune de nos hommes politiques avec un titre évocateur, « ces milliardaires qui nous gouvernent ». Le journal renseigne que « ces hommes politiques qui ne sont ni héritiers de fortune, ni des magnats de l’industrie ou de l’immobilier ont des patrimoines évalués en milliards.»  

Faut-il rendre publiques toutes les déclarations de patrimoine ? s’interroge EnQuête qui parle de « transparence chahutée » avec les « fuites » orchestrées sur la déclaration du patrimoine de Idrissa Seck, président du Conseil économique, social et environnemental. Le journal soutient que la loi de 2014, en son article 9, punit tout manquement au caractère confidentiel de cette déclaration.

La presse sénégalaise s’est inclinée devant la mémoire de Me Khassimou Touré, décédé hier. « Un géant du barreau s’est effondré » titre Le Témoin. « Le barreau perd un ténor » témoigne Le Quotidien. « L’avocat des grands dossiers est parti » indique Vox Populi.

Côte d’Ivoire: une société de cimenterie célèbre ses meilleurs clients

LafargeHolcim Côte d’Ivoire, une filiale du groupe LafargeHolcim, leader mondial des matériaux de construction, et producteur du Ciment Bélier, vient de célébrer ses meilleurs clients sur toute l’étendue du territoire national ivoirien.

Pour la filiale, l’année 2021 commence avec la célébration de ses clients. L’entreprise a lancé l’opération Bélier D’Or, une palme visant à récompenser les meilleurs clients sur tout le territoire national.

Sous la houlette de la directrice commerciale Céline Mansuy, la société a initié depuis mi-janvier l’opération Bélier D’Or, qui a conduit à de chaleureuses tournées dans le pays pour des rencontres surprises avec les clients, visiblement enthousiastes. 

Ces retrouvailles ont été l’opportunité pour la filiale de rappeler que le Ciment Bélier, présent en Côte d’Ivoire depuis près de 70 ans, a servi à construire la plupart des monuments et grands édifices nationaux. 

Les partenaires commerciaux, eux, ont évoqué parfois avec émotion, le lien fort qui les unit à la marque Ciment Bélier. M. Alassane Ouédraogo, un utilisateur de la marque, témoigne travailler avec ce ciment depuis plus de 15 ans. 

« La qualité est toujours là et les commerciaux sont vraiment à notre écoute. Dès que nous rencontrons une difficulté, ils viennent avec des solutions », rapporte-t-il, soulignant qu’avec l’application eBélier, ils commandent directement et sont livrés rapidement sans se rendre à l’usine. 

M. Kouassi Konan, un vendeur, fidèle de la marque, soutient que « le Ciment Bélier est vraiment la référence sur le marché » et est « un produit de qualité (parmi toutes les offres) et qui répond à leurs besoins précis ».

Dans sa volonté d’être toujours plus proches de ses clients, LafargeHolcim Côte d’Ivoire n’a cessé d’innover ces dernières années dans les produits et services qu’elle propose aux consommateurs de ses différents produits.  

Avec eBélier, il est permis aux usagers de commander le ciment Bélier à partir d’une application et sans se déplacer. La filiale a récemment développé Superbric, un produit bien implanté auprès des briquetiers pour la fabrication d’agglos d’une qualité exceptionnelle.

Avec plus de 280 points de vente, la filiale assure la distribution du ciment Bélier et de 400 autres références produits via son réseau de franchises Binastore. Elle propose en outre un service d’assistance client et de contrôle qualité grâce à son laboratoire des Applications Ciment.

Covid-19: Prolongation de deux semaines du couvre-feu nocturne

Le gouvernement marocain a décidé de prolonger de deux semaines, à compter du mardi 02 février à 21H, les mesures de précaution adoptées le 13 janvier dernier pour lutter contre la pandémie de la Covid-19.Cette décision intervient sur la base des recommandations de la Commission scientifique et technique concernant la nécessité de maintenir les mesures nécessaires pour lutter contre le coronavirus, notamment après l’évolution de cette épidémie au niveau mondial suite à l’apparition de nouvelles variantes du virus dans certains pays voisins, indique un communiqué de l’exécutif

La décision s’inscrit également dans le cadre des efforts continus pour enrayer la propagation de l’épidémie et limiter ses répercussions négatives, selon le communiqué.

Aujourd’hui, le Royaume a enregistré 281 nouvelles infections pour un total de 471.438 cas confirmés à la COVID-19, dont 8.287 décès (+12) et 450.052 personnes guéries (+892).

Ouverture du contentieux de l’éligibilité des candidats aux législatives ivoiriennes

Les réclamations relatives à l’éligibilité des candidats aux élections législatives ivoiriennes du 06 mars prochain ont été ouvertes lundi devant le Conseil constitutionnel ivoirien et devraient s’achever le 08 février prochain, a indiqué cette institution dans un communiqué parvenu à APA.

« La Commission électorale indépendante (CEI) ayant procédé le dimanche 31 janvier 2021 à la publication de la liste provisoire des candidats pour le scrutin du 06 mars 2021, les réclamations sont reçues par le Conseil constitutionnel du lundi 1er au lundi 08 février 2021», a rappelé le Conseil constitutionnel dans ce communiqué.  

Les requêtes accompagnées des pièces justificatives devront être déposées au secrétariat général dudit Conseil, a ajouté le communiqué précisant qu’à l’expiration de ce délai plus aucune réclamation ne sera reçue. 

Dimanche, la Commission électorale indépendante ( CEI), l’institution électorale ivoirienne, a publié une  liste provisoire de 1266 candidatures retenues pour les législatives du 06 mars prochain. 

Conformément à l’article 98 du code électoral ivoirien, rappelle-t-on, le droit de contester une éligibilité à l’élection des députés à l’Assemblée nationale appartient à tout électeur dans le délai de huit jours à compter de la date de publication provisoire des candidats par la CEI.

Chan 2021 : quatre prétendants pour le sacre

Les quarts de finale du Championnat d’Afrique des nations (Chan) organisé au Cameroun ont livré leur verdict à l’issue des rencontres jouées ce week-end.Mali, Cameroun, Maroc et Guinée forment le carré d’as de la 6è édition du Chan dont les demi-finales sont programmées mercredi. Les affiches des quarts étalées samedi et dimanche ont réservé un plateau de rêve pour les demi-finales.

Maroc / Cameroun, finale avant l’heure

Jamais deux sans trois, l’adage s’est encore vérifié entre le Cameroun et la RD Congo au Chan. Les Lions indomptables devant un public acquis à leur cause, ont pris le meilleur sur les Léopards (2-1) qui avaient pourtant ouvert le score. Une qualification méritée sur l’ensemble de la partie pour des Camerounais qui retrouveront sur leur chemin le tenant du titre, le Maroc. Les Lions de l’Atlas expéditifs en quarts, ont plié la Zambie (3-1) rapidement réduite à 10 dès la 20e minute de jeu au stade la Réunification de Douala.

Cette demi-finale au sommet au stade Limbe Omnisports Stadium, promet de belles empoignades entre deux favoris au sacre final. Et la jauge des 50 % imposée par le Comité d’organisation pour la vente des billets, pourrait bien en prendre un sacré coup devant la capacité du stade (20.000 places). Le quart entre le Cameroun et la RD Congo s’est déroulé dans un stade bien rempli malgré la jauge fixée à 25 % des 50 000 places habituelles pour cause de coronavirus.

Mali / Guinée, le derby ouest-africain

L’autre demi-finale opposera le Mali, victorieux au bout du suspense devant le Congo aux tirs au but (0-0, tab 5-4), à la Guinée qui a écarté une vaillante sélection rwandaise (1-0) dans une rencontre heurtée, avec un carton rouge de chaque côté. Ce derby ouest-africain est un remake de la demi-finale du Chan de 2016 au Rwanda, qui avait vu les Aigles du Mali prendre le dessus sur le Syli local (1-0, 88′) sur la fin sur un but de Yves Bissouma.

C’est dire qu’à côté de l’objectif d’atteindre une première finale dans cette compétition, les hommes de Lappé Bangoura tenteront de prendre leur revanche sur ceux de Nouhoum Diané qui caressent le rêve d’aller au bout cette année, après la désillusion de la finale perdue en 2016 devant la RD Congo à Kigali.

Programme des demi-finales :

Mercredi 3 février 2021

Stade Japoma de Douala

Mali vs Guinée, 15h GMT.

Limbe Omnisports Stadium

Maroc vs Cameroun, 19h GMT.

Le Maroc et la RDC discutent des défis sécuritaires dans la sous-région et le continent africain

Le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, s’est entretenu, lundi à Rabat, avec le Conseiller spécial du chef d’État de la République démocratique du Congo (RDC) en matière de sécurité, François Beya.Ces entretiens interviennent suite au message du Roi Mohammed VI au président congolais, Félix Tshisekedi, remis en décembre dernier par le ministre délégué aux Affaires étrangères, Mohcine Jazouli, indique un communiqué du département marocain des AE.

Lors de cette rencontre, les deux responsables ont évoqué les relations bilatérales et les moyens de les renforcer davantage et discuté des défis sécuritaires dans la sous-région et le continent africain, dans un contexte marqué par la menace terroriste.

Cet entretien intervient à la veille du début du mandat du président congolais, Félix Tshisekedi, à la tête de la présidence tournante de l’Union Africaine (UA), qui succède ainsi à son homologue sud-africain, Cyril Ramaphosa, conclut la même source.