Soudan : Démission du Premier ministre

Par Mohamed Fayed — Le Premier ministre soudanais Abdallah Hamdok, a annoncé dimanche soir sa démission, disant avoir échoué dans son pari de parvenir à un consensus. »J’ai tenté de mon mieux d’empêcher le pays de glisser vers la catastrophe, alors qu’aujourd’hui il traverse un tournant dangereux qui menace sa survie (…) au vu de la fragmentation des forces politiques et des conflits entre les composantes (civile et militaire) de la transition (…). Malgré tout ce qui a été fait pour parvenir à un consensus (…), cela ne s’est pas produit », a-t-il souligné dans son message adressé à la nation sur la télévision d’Etat.

Hamdok a souligné que « l’unité et le destin du pays sont confrontés à de nombreux défis », ajoutant qu’il laissera de la place à « d’autres fils du pays pour à compléter la marche vers le reste de la transition qui mènera à un Etat civil démocratique ».

Selon lui, le gouvernement de transition était confronté à des défis majeurs, dont les plus importants étaient « la distorsion de l’économie, l’isolement international étouffant, la corruption et des dettes dépassant les 60 milliards de dollars, la détérioration de la fonction publique, de l’éducation et de la santé, et l’érosion du tissu social qui est apparu dans la guerre du Darfour, du Sud Kordofan, du Nil Bleu et d’autres difficultés ».

Et d’ajouter que le consensus politique entre les composantes civiles et militaires n’a pas « survécu » avec le même degré d’engagement et d’harmonie avec lequel il a commencé, « et ce qui est plus dangereux, c’est que les répercussions de ces divisions ont atteint la société et ses différentes composantes, alors que le discours de haine et de trahison et le manque de reconnaissance de l’autre sont apparus, et l’horizon de dialogue s’est bloqué, ce qui a rendu le processus de transition fragile et plein d’obstacles et de défis ».

Hamdok, 65 ans, était Premier ministre du gouvernement de transition au Soudan depuis le 21 août 2019, quatre mois après le renversement de l’ex-président d’Omar el-Bechir.

Le 25 octobre 2021, il a été arrêté par des hommes armés au cours d’un coup d’État avant d’être réinstallé dans ses fonction un mois plus tard.

Sa démission intervient dans le sillage d’une nouvelle journée de manifestations qui secouent le pays depuis plus de deux mois et qui ont déjà fait une cinquantaine de morts et des centaines de blessés.

Le message à la Nation de Macky Sall à la Une

Le discours du nouvel an du président Macky Sall fait la Une des quotidiens sénégalais parvenus ce lundi à APA.« Message de fin d’année du président : Maintien du cap sur l’émergence », titre le quotidien national Le Soleil.

Dans ce discours de nouvel an du président de la République, Sud Quotidien voit Macky Sall entre « bilan, redite et réchauffé ».

Selon ce journal, le chef de l’Etat a annoncé des projets pour l’amélioration de la circulation des personnes et des biens, un programme spécial de désenclavement sur plus de 2500 km pour un « Sénégal de tous », 400 bus sobres en carbone et la protection des femmes.

Cela fait dire à L’As que « Macky (est) fier de son bilan à mi-parcours ».

« Macky entre bilan et campagne », renchérit La Tribune. Le journal écrit que le président est largement revenu sur ses réalisations dans les infrastructures, l’agriculture, l’énergie et les hydrocarbures.

« Discours du nouvel an : Les pétards mouillés de Macky », rapporte Le Quotidien, soulignant que le président annonce l’achèvement de la Boucle du Blouf (sud) et du port de Sendou (ouest), des ouvrages qui ne sont même pas exécutés à 10%.

De son côté, L’Observateur titre : « Macky et les défis de 2022 ». Nos confrères notent que ces défis sont relatifs à la conjoncture économique, à la dette et aux grands projets.

Walf Quotidien parle des scandales au Palais de la République et fait état de « bourdes des hommes de l’ombre ».

« Les hommes de l’ombre qui murmurent à l’oreille de Macky Sall semblent avoir perdu leur superbe. Depuis un certain temps, ils cumulent les revers. Entre le scandale de l’audience de Djibril Ngom et les propos de Mbougar Sarr sur le 3e mandat, le shadow cabinet de Macky Sall multiplie les bourdes avec des effets boomerang », explique Walf Quotidien.

En sport, les quotidiens reviennent sur le combat Balla Gaye 2-Bombardier en lutte sénégalaise avec frappe.

« Lendemain de victoire sur Balla Gaye 2 : Bombardier débute l’année sous une bonne étoile », informe L’Observateur, faisant dire à L’As que B52 confirme sa suprématie devant BG2.

Pour EnQuête, BG2 subit un second assaut du B52.

Côte d’Ivoire: le dialogue politique doit être « sans menace, ni préalable » (Affi)

Le président du Front populaire ivoirien (FPI, opposition), Affi Nguessan, souhaite que le dialogue politique, en cours, soit « loyal, sans couperet ni menace, sans ultimatum ni préalable », dans un message de vœux du nouvel an 2022.

« Ce dialogue politique doit être loyal, sans couperet ni menace, sans ultimatum ni préalable. Cela implique une paix des braves », a déclaré le président du FPI, Pascal Affi Nguessan, dans un message de voeux du nouvel an.

« En 2022, l’heure n’est plus aux arrière-pensées et aux manœuvres tactiques », a-t-il estimé, lançant à l’endroit de ses compatriotes « je connais votre lassitude devant les mots creux, les serments sans lendemain qui engendrent toujours les mêmes désastres ».

L’union, une valeur de la devise du pays, « doit nous permettre d’avancer dans la voie d’une vraie réconciliation et d’affermir les fondements de notre démocratie. (Ainsi), la Côte d’Ivoire en sortira plus solide, plus confiante en ses institutions, plus respectueuse de toutes les opinions », a-t-il dit. 

Selon le chef du FPI, 2020 a été « l’année d’un nouvel embrasement, meurtrier et affligeant », mais 2021 a été une année d' »accalmie »,  qui a enregistré « la participation de la quasi-totalité des partis politiques aux législatives sans incidents majeurs ».  

Que « l’année 2022 qui s’ouvre constitue pour chacune et chacun d’entre nous la chance d’un nouveau départ, l’occasion de réaliser nos rêves, de poser des actes d’espérances », a-t-il laissé entendre.  

Il a fait remarquer que 2021 a été une année de « décrispation », marquée par l’audience accordée par le Chef de l’État, le président Alassane Ouattara, à son prédécesseur, Laurent Gbagbo, dans une volonté commune de dépasser les meurtrissures et les rancœurs de la crise postelectorale de 2010-2011″.  

Cette « décrispation, c’est enfin la relance, le 16 décembre dernier, du dialogue politique (la cinquième phase) entre le gouvernement, les partis politiques et les organisations de la société civile », a-t-il poursuivi. 

Toutefois, insinuera-t-il, « l’assurance d’alternances démocratiques est la garantie de la paix, de la stabilité. La stabilité est la condition du développement ». Ce nouvel an « offre une nouvelle chance, celle de consolider les fragiles fondations que nous avons posées ».

Cela, pour lui, devrait permettre d' »aller plus loin dans la construction d’une même Nation, une Côte d’Ivoire nouvelle, forte de valeurs partagées », sur le socle des valeurs fondamentales  exprimées par la devise de la République : Union, Discipline, Travail. 

« Les récents audits ont permis de constater plusieurs malversations qui sont inacceptables, déstructurantes et intolérables. La fraude, le détournement des deniers publics et la corruption sont des désordres auxquels il faut impérativement mettre fin », a-t-il martelé.  

M. Affi a par ailleurs fait observer que « trop de jeunes sont soit privés d’emplois et oisifs, soit dans des emplois précaires », soulignant que le pays doit « favoriser davantage la création d’emplois pour donner du travail à tous et pour mettre tout le monde au travail ».

Pour le chef du FPI, la productivité doit impulser la croissance économique de manière soutenue et durable afin que les fruits de la croissance soient mieux partagés. Le travail, aussi, doit permettre de promouvoir les femmes et leur offrir toutes les chances d’un plein épanouissement. 

Côte d’Ivoire: Makosso interpellé pour ses vidéos injurieuses envers les femmes

L’Association des femmes journalistes (AFJ) de Côte d’Ivoire dénonce des propos « agressifs » et « injurieux » du pasteur ivoirien, Camille Makosso alias « La Marmaille », dans ses vidéos sur les réseaux sociaux.

« Depuis quelques semaines l’Association des femmes journalistes (AFJ) de Côte d’Ivoire est interpellée par des journalistes sur les agissements d’un présumé pasteur ivoirien », écrit dans une note la présidente de l’organisation féminine, Marlyse Konan. 

Ce dernier, fait-elle observer a « agressé des femmes dans une vidéo récemment » et d’autres vidéos dans lesquelles iI tient de façon abondante des injures et des « grossièretés » sur les parties intimes des femmes.

« L’association des femmes journalistes de Côte d’Ivoire voudrait attirer l’attention des autorités compétentes à rappeler à l’ordre l’individu en question afin de mettre fin à cette violence à l’égard des femmes et des filles », lance la journaliste ivoirienne. 

L’AFJ Côte d’Ivoire se veut une organisation de défense des droits de la femme qui se tient à la « disposition des populations ivoiriennes pour servir de canal pour dénoncer tout cas de violence basée sur le genre (VBG) » dans le pays. 

Le ciel abidjanais illuminé de géants feux d’artifices à l’entrée de l’an 2022

De géants feux d’artifices, projetés depuis les bords de la lagune Ebrié, ont illuminé le ciel abidjanais à l’entrée de la nouvelle année 2022, lors d’un spectacle pyrotechnique qui a rassemblé des milliers de personnes.

Ces instants de bonheur étaient offerts par la Première dame de Côte d’Ivoire, Mme Dominique Ouattara, marraine de ce spectacle pyrotechnique. Un évènement devenu une tradition, marquant le passage à la nouvelle année. 

Mme Chantal Camara, la présidente de la Cour de cassation, représentant la Première dame de Côte d’Ivoire, a exprimé la « joie » de Mme Dominique Ouattara de partager ce moment emprunt de convivialité avec les populations.

Elle leur a transmis les vœux les plus chaleureux de la Première dame de Côte d’Ivoire autour de ces feux magiques, entremêlés dans le ciel, expression de la « cohésion sociale » et de l’unité entre les Ivoiriens.

Le spectacle pyrotechnique avait pour thème « La Côte d’Ivoire Côte d’Ivoire solidaire et unie », un écho pour exprimer « une Côte d’Ivoire Plus forte et plus fraternelle », à l’occasion du réveillon du nouvel an.

Le ministre-gouverneur du District autonome d’Abidjan, Robert Mambé, dont le spectre territorial accueille ce spectacle, a déclaré que « ces feux visent à rassembler les Ivoiriens dans une perspective de solidarité et de partage ». 

La Première dame de Côte d’Ivoire, Mme Dominique Ouattara, a donné il y a une semaine, le coup d’envoi de ces festivités de fin d’année, en procédant à l’ouverture des sites d’illumination dans le District d’Abidjan. 

La Rétrospective 2021 au menu des hebdomadaires marocains

La rétrospective 2021 est le sujet principal traité par les la presse hebdomadaire.+Challenge+ écrit que « malgré les contraintes, très fortes, nous avons traversé 2021 avec un minimum de dégâts », comparativement à des pays similaires, et ce sur le plan économique et sanitaire, alors que pour le reste, « nous sommes logés à la même enseigne ».

Sauf que grâce à la vision de SM le Roi, « nous lançons un train de réformes structurantes, essentielles, qui nous projettent dans l’avenir », fait remarquer l’hebdomadaire.

Il estime, par ailleurs, que 2022 « est une année charnière », où « il faut absolument tenir les agendas, même si les contraintes s’amoncellent », notant que sur le plan économique, les prévisions du gouvernement sont « réalistes ».

+La Vie Eco+ estime que 2021 aura été une année « dose de rappel », voire une troisième dose pour le « boost ».

Et depuis l’apparition de la nouvelle souche, baptisée Omicron, à la propagation explosive, l’année 2021 se termine sur un « remake » de 2020, plus pandémique mais, cette fois-ci, avec un monde mieux préparé, constate le journal.

Au fil des vagues qui se sont succédé se fait aussi l’apprentissage de la gestion de la situation de crise sanitaire et de ses répercussions économiques et sociales, relève-t-il, notant que le Maroc a déployé, depuis 2020 et tout au long de 2021, toutes sortes de programmes et de mécanismes pour préserver, certes, les vies humaines d’abord, mais aussi les revenus, les emplois, la cohésion et la mobilisation.

+Le Temps+ indique que l’année qui s’achève « nous aura laissé un maelström de sentiments, d’impressions, d’expériences et de souvenirs marquants à tous les plans ».

On a eu droit, une année durant, à « un condensé de tous les extrêmes » et « beaucoup d’entre nous en sortent durablement, peut-être définitivement, changés », relève la publication.

Côte d’Ivoire: la croissance économique estimée à 6,5% en 2021

La croissance économique de la Côte d’Ivoire s’est établie à 6,5% en 2021 contre environ 2% en 2020, a indiqué vendredi le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, dans un message de vœux du nouvel an à la Nation.

 « Notre plan de riposte économique et sanitaire, combinés à la résilience de notre économie, a permis de contenir l’effet de la pandémie de Covid-19 avec un taux de croissance économique positive d’environ 2% en 2020 et 6,5% en 2021 », a déclaré M. Alassane Ouattara. 

Le président ivoirien a assuré que « cette dynamique se poursuivra en 2022 avec un taux de croissance projeté à environ 7% », profitant pour saluer les efforts du Premier ministre Patrick Achi et du gouvernement ainsi que l’ensemble des acteurs impliqués dans la lutte contre la Covid-19. 

À la date d’aujourd’hui, dira-t-il, près de 15 millions de doses de vaccins anti Covid-19 ont été reçues et plus de 7 millions de doses administrées dans le pays, tout en prévenant que la Covid-19 est toujours présente avec la recrudescence de cas positifs en Côte d’Ivoire.

M. Ouattara a souligné pour l’année 2022, le gouvernement ciblera ses actions sur trois priorités.  Premièrement, la transformation de l’économie, en allant plus loin et plus vite dans la transformation de l’économie en vue de l’amélioration des conditions de vie des habitants.

« C’est pourquoi, nous allons amplifier la modernisation de notre agriculture pour augmenter ses rendements et les revenus de nos producteurs, réduire le coût de la vie, et accélérer l’industrialisation par la transformation locale de nos matières premières », a-t-il ajouté.

« Notre seconde priorité pour cette année 2022 est l’emploi des jeunes et des femmes; et un accent particulier sera mis sur l’emploi de nos filles et de nos fils. Pour ce faire, le secteur privé sera d’une attention particulière », a-t-il poursuivi. 

De ce fait, le gouvernement mettra en place un programme pour accompagner et pour promouvoir les financement des PME, des startups et des jeunes entrepreneurs, a fait savoir le président ivoirien.

La troisième priorité, soulignera-t-il,  est la promotion de la culture de la bonne gouvernance et la transparence dans la gestion des affaires publiques pour le bien-être des populations. L’Etat entend « bâtir une conscience nationale imprégnée des valeurs d’intégrité ». 

Côte d’Ivoire: remise gracieuse de peine à près de 2.500 détenus

Le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, a annoncé vendredi avoir procédé à la signature d’un décret de remise gracieuse de peine de près de 2500 détenus, dans un message de voeux du nouvel an à la Nation.

« En cette fin d’année 2021, j’ai procédé à la signature d’un décret de remise gracieuse de peine au bénéfice de près de 2500 détenus qui recouvreront la liberté », a déclaré le président ivoirien, dans un discours à la Nation à la veille de l’an 2022. 

 Il a toutefois fait savoir que « cette mesure ne concerne pas les personnes condamnées pour crime de sang ». Ce qui sous-entend que les prisonniers de la crise post-électorale de 2010-2011, incarcérés dans cet esprit, ne pourront pas recouvrer la liberté. 

L’ex-président, Laurent Gbagbo, acquitté par la Cour pénale internationale (CPI) dans l’affaire de crimes liés à la crise post-électorale de 2010-2011, avait plaidé auprès de M. Ouattara afin d’user de ses prérogatives pour libérer les détenus de cette grave crise qui a fait plus de 3 000 morts dans le pays.

Ouattara institue un prix de bonne gouvernance et de lutte contre la corruption

Le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, a annoncé vendredi l’institution d’un prix sur la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption, à partir de 2022, dans un message de voeux du nouvel an à la Nation.

« Nous devons bâtir une conscience nationale imprégnée des valeurs d’intégrité, d’équité, et d’un sens élevé de la responsabilité dans la conduite des affaires publiques. C’est dans ce cadre que j’ai décidé d’instaurer à partir de 2022, un prix portant sur la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption », a déclaré le président ivoirien. 

Selon M. Ouattara, « ce prix favorisera l’éclosion de cette conscience nationale qui prône le respect des deniers publics, la recherche de l’excellence, et qui place l’intérêt de la Nation au-dessus de tout ». 

Pour lui, « cela doit se traduire par un véritable changement de mentalité et de comportement » après les importants progrès réalisés dans tous les domaines de la vie socio-économique du pays depuis 2011.  

« Nous devons promouvoir davantage la culture de la bonne gouvernance et la transparence dans la gestion des affaires publiques, pour le bien- être de nos populations », a-t-il poursuivi, se félicitant des actions entamées en 2021 qui ont produit « des résultats probants ».

Ouattara annonce le lancement de 8 nouveaux échangeurs à Abidjan en 2022

Le président ivoirien, Alassane Ouattara, a annoncé des travaux pour le lancement de la construction de huit nouveaux échangeurs à Abidjan, au cours de l’année 2022, dans un discours à la Nation, à la veille du nouvel an

« Au cours de l’année 2022, nous poursuivrons l’extension de l’autoroute du Nord jusqu’à Bouaké, la réhabilitation de la côtière Abidjan-San Pedro, ainsi que les travaux pour le lancement de la construction de huit nouveaux échangeurs à Abidjan », a dit M. Alassane Ouattara.   

L’année 2021, rappelera-t-il, a été la première année de la mise en œuvre du projet de campagne « Une Côte d’Ivoire Solidaire ». Ce projet vise à consolider les acquis des dix dernières années et à accélérer le processus de transformation structurelle de l’économie. 

Il s’est félicité de ce que, pendant les deux premiers quinquennats, le gouvernement a mis en œuvre des réformes importantes, tout en procédant à des investissements massifs pour la réhabilitation et l’extension des infrastructures économiques et sociales.

Dans cet élan, l’Etat continuera d’investir dans les infrastructures pour améliorer la fluidité du trafic dans le Grand Abidjan, désenclaver les zones rurales, relier toutes les capitales régionales, et rendre accessibles tous les chefs-lieux de département du pays, par des voies bitumées.

« Je me réjouis que les projets structurants, tels que le 4e pont Yopougon-Plateau, le Pont de Cocody et l’échangeur de l’Indénié seront achevés en fin d’année 2022 », a déclaré le président ivoirien.