Côte d’Ivoire: lancement des Journées économiques des PME de Bouaké

Les Journées économiques des Petites et moyennes entreprises (PME) de la Région du Gbêkè (Bouaké), prévues du 26 au 27 juillet 2021, ont été lancées jeudi à Bouaké, la métropole du centre ivoirien.

Plus de 243 entreprises étaient présentes au lancement des Journées économiques des PME de la Région du Gbêkê autour du thème « potentialité et atouts de la Région du Gbêkê pour le développement des PME ».

Selon les organisateurs, ces assises tenues sous ce thème proposé par la Fédération ivoirienne des PME (FIPME) pour la Région du Gbêkê, visent à renforcer le dynamisme des entreprises locales pour accroître leurs productions.

Fort du constat de la faible participation des PME locales à l’essor économique de la Côte d’Ivoire, la FIPME entend au travers de ces journées économiques, renforcer les capacités techniques et managériales des PME de la Région du Gbêkê.

Cette plateforme vise également à doter les PME de la Région d’instruments de référence en matière de gouvernance et apporter les informations sur les fonds de soutien aux PME.

La FIPME s’est imposée comme le chef de file des PME en Côte d’Ivoire avec à son actif 40 faîtières et associations professionnelles regroupant plus de 90% des principales grandes organisations du secteur des PME.

Ces journées économiques régionales tournantes sont prévues être organisées dans chacun des huit Pôles économiques nationaux, le but étant d’impliquer davantage les PME dans les défis de la qualité et de la compétitivité.

 Le lancement officiel des Journées économiques des PME de la Région du Gbêkê  eu lieu à la préfecture de la région. Le Préfet de région Tuo Fozié était représenté par le préfet de Béoumi.

Côte d’Ivoire: la SFI lance un Programme pour l’accès aux équipements médicaux

Le directeur général de la Société financière internationale (SFI), Makhtar Diop, a lancé vendredi à Abidjan le Programme pour faciliter l’accès aux équipements médicaux pour la Côte d’Ivoire, en présence du Premier ministre ivoirien Patrick Achi.

Le Programme pour l’accès aux équipements médicaux en Afrique (AMEF) pour la Côte d’Ivoire vise à répondre à aider les hôpitaux, les cliniques, les laboratoires et les centres d’imagerie médicale à acquérir du matériel de pointe. 

La SFI partage le risque avec l’établissement bancaire. Un mécanisme qui vient soutenir le portefeuille de la banque afin d’octroyer du crédit aux PME du secteur de la santé qui peinent à obtenir des prêts bancaires pour acheter ou louer des équipements médicaux essentiels. 

M. Makthar Diop a fait savoir que « les investisseurs veulent utiliser le secteur de la santé comme étant un secteur qui permettra de créer les emplois, de la richesse mais également de satisfaire à la demande sociale ».

Les besoins en matière de santé deviennent de plus en plus importants avec l’allongement du cycle de vie active et l’espérance de vie qui s’accroît dans les pays. De ce fait, la SFI veut accompagner le secteur de la santé pour s’équiper en matériels de pointe.

Le directeur général de la SFI, la branche de la Banque mondiale en charge du secteur privé, a fait observer que « le secteur bancaire n’est pas familier avec l’appréciation du risque dans le secteur de la santé ».

Ce programme « permettra au secteur bancaire en général de se familiariser à l’appréciation du risque dans le secteur des services qui à mon avis augmente de façon exponentielle dans les pays africains », a-t-il ajouté.

Ensuite, dira-t-il, « on se rend compte que quand on va dans les services de santé (en Afrique) on constate qu’il y a un équipement de qualité qui a été utilisé pour une année ou deux et qui est maintenant dans une arrière cour, qui n’est pas maintenue et qui ne sert plus à rien ».

Le Premier ministre Patrick Achi a souligné l’importance pour les acteurs du secteur de la santé de traiter directement avec les équipementiers médicaux pour assurer une maintenance continue de leurs appareils, voire installer une succursale dans le pays. 

M. Patrick Achi a relevé que les difficultés pour les PME pour croître sont « réels », assurant que l’Etat est disposé à apporter « des solutions rapides », entre autre, un fonds de garantie pour accompagner ce programme. Toute chose qui permettra de créer des champions nationaux.

Le directeur général de Nsia Banque Côte d’Ivoire, Léonce Yacé, a admis que les banques ont des difficultés à accompagner les PME quand il y a un problème de gouvernance ou une asymétrie de l’information financière. C’est pourquoi les banques exigent le visa comptable. 

« Le Premier ministre à tenu des propos qui nous rassurent », a déclaré le président de la Fédération des PME ivoiriennes (FIPME), Dr Joseph Boguifo, également président de l’Association des cliniques privées en Côte d’Ivoire. 

L’AMEF est une plateforme conçue par la SFI pour mettre en relation des entreprises du secteur de la santé qui ont besoin d’équipements médicaux avec des fabricants d’équipements et des institutions financières. 

L’objectif est d’améliorer la qualité des soins dans le secteur médical privé et d’aider les petits acteurs du secteur à renforcer leur capacité d’action face à la pandémie de Covid-19 et aux autres défis sanitaires majeurs. 

Côte d’Ivoire: Sidonie Amoakon quitte l’ANP pour les Nations-Unies

L’Ivoirienne Armelle Sidonie Amoakon, secrétaire générale de l’Autorité nationale de la presse (ANP), quitte cet organe de régulation de la presse imprimée et numérique pour intégrer une mission de l’Organisation des Nations Unies.

Mme Armelle Sidonie Amoakon quitte l’ANP, l’ex-Conseil national de la presse (CNP), après 15 ans de service pour entamer une carrière internationale au sein des Nations-Unies. Une cérémonie d’au revoir a été organisée, vendredi après-midi, à son honneur au siège de l’organe de régulation.

Au cours de cette cérémonie empreinte d’émotion, les différentes entités de l’ANP ont salué à l’unanimité « l’abnégation, la rigueur » avec laquelle elle a conduit l’administration de cette instance de régulation de la presse.

Présent à cette cérémonie, le président de l’Autorité nationale de la presse, Samba Koné, a félicité Mme Sidonie Amoakon, lui souhaitant le succès dans sa nouvelle fonction. M. Koné était à la fois content et triste de voir partir cette dernière qui a assuré avec dextérité ce poste.

RDC : 20.000 civils ont fui les violences au Nord-Kivu

La province, située à l’Est du pays, subit les « attaques répétées » d’un groupe armé selon le Haut-Commissariat des Nations unies pour les Réfugiés (HCR).Face à la gravité de la situation, l’agence onusienne a organisé, le 16 juillet au Palais des Nations à Genève (Suisse), une conférence de presse. Dans un communiqué reçu à APA, le Haut-Commissariat des Nations unies pour les Réfugiés (HCR) appelle à « des mesures urgentes et renforcées pour protéger les civils ».

Malgré l’état d’urgence décrété le 6 mai dernier dans cette partie de la République démocratique du Congo (RDC), souligne le HCR,  les groupes armés poursuivent leur sinistre entreprise dans le Nord-Kivu et la province voisine de l’Ituri.

Depuis le 22 juin, déclare Babar Baloch, porte-parole du HCR,  les Forces démocratiques alliées (ADF, sigle en anglais) auraient causé la mort d’au moins 14 personnes et en auraient blessé de nombreuses autres dans la ville de Beni et ses environs.

Dans ces attaques, précise le HCR, des habitations ont été pillées voire incendiées. A en croire  M. Baloch, la résurgence de ce groupe rebelle, originaire d’Ouganda et affilié à l’Etat islamique, « terrorise la vie des habitants ».

Investi d’une mission d’assistance humanitaire, le HCR dit faire face à de « multiples situations d’urgence » découlant notamment de l’éruption du volcan Nyiragongo à Goma le 22 mai dernier.

Au cours des deux dernières années, affirme le Haut-Commissariat des Nations unies pour les Réfugiés, près de deux millions de personnes ont été déracinées par l’insécurité et la violence dans la seule province du Nord-Kivu.

En 2020, l’agence des Nations Unies a distribué des abris d’urgence à « plus de 100.000 personnes déplacées » contre près de 14.000 depuis début 2021. Le HCR, qui estime que les femmes et les enfants ont des besoins particulièrement aigus, leur fournit aussi « des articles de secours et des allocations d’aide en espèces ».

Mais les « besoins demeurent élevés » car les attaques génèrent des déplacés internes. Ainsi, le HCR lance un appel pour la mobilisation des fonds supplémentaires nécessaires à la bonne exécution de son travail en RDC. Sur les 205 millions de dollars que le HCR a demandés, seuls 73 millions ont été décaissés. C’est 36 % du montant global.

Energie : appel à candidatures pour les start-up africaines

Les jeunes entreprises du continent peuvent bénéficier d’un financement en participant au concours « Salon de l’énergie et du développement durable (SEDD for Innovation) » organisé par l’association Light On.Deux semaines. C’est le temps qu’il reste aux start-up africaines pour soumettre leur projet. En effet, la réception des candidatures sera close le 31 juillet prochain. Pour espérer décrocher l’un des prix mis en jeu par Light On, les innovateurs devront proposer des solutions énergétiques hors-réseaux innovantes. La finalité étant d’améliorer les conditions de vie des populations du continent noir.

Cette compétition vise donc à promouvoir l’inventivité et la créativité « made in Africa » dans les domaines du développement durable et de l’énergie par la mise en place de formations et de financements de projets innovants.

Elle cible les start-up proposant des solutions pour éclairer durablement les ménages non raccordés au réseau électrique national ou développant des solutions pour l’efficacité énergétique.

Cinq pays (Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Mali, Sénégal et Togo) sont concernés par le concours. Le prix décerné dans chaque catégorie est doté d’une enveloppe de trois millions F CFA, plus des formations, de la visibilité et des contacts avec des professionnels et de potentiels investisseurs. Les étudiants peuvent également y participer pour tenter de remporter jusqu’à un million F CFA.

Coupe Cosafa : le Sénégal qualifié en finale

Les Lions ont éliminé, ce vendredi au Nelson Mandela Bay Stadium de Port Elizabeth (Afrique du Sud), l’Eswatini à l’issue des tirs au but (3-0).Dans cette épreuve, le Sénégal n’a pas du tout tremblé. Les trois premiers Lions à se lancer, Mohamed Rassoul Ba, Albert Lamane Diène et El Hadj Madické Kane, ont mis la balle au fond des filets.

Par contre, l’Eswatini a complètement perdu pied avec trois ratés en autant de tentatives. Pape Seydou Ndiaye, le gardien sénégalais, s’est dressé comme une muraille. Et le Bouclier du roi, surnom de cette sélection, avait le moral dans les chaussettes. 

C’est parce que l’Eswatini tenait le bon bout en ouvrant la marque grâce à Sifiso Samu Matse (15′, 1-0) puis en doublant la mise par l’intermédiaire de Sabelo Ndzinisa (20′, 2-0). 

En seconde période, la réduction du score de Pape Massar Djitté (58′, 2-1) a permis au Sénégal d’entretenir l’espoir. L’expulsion du milieu eswatinien Fanelo Mamba, après un second carton jaune (67′), a rendu plus facile la tâche des Lions. 

A force de pousser, El Hadj Madické Kane a effacé l’ardoise (80′, 2-2). En supériorité numérique, le Sénégal n’est pas parvenu à prendre l’avantage sur son adversaire. Il a donc fallu la séance fatidique des tirs au but pour départager les deux équipes.

Le Sénégal jouera, dimanche prochain, la finale de la 20e édition de la Coupe Cosafa. Les Lions ont été invités à prendre part à cette compétition des fédérations de l’Afrique australe. L’autre demi-finale du tournoi oppose à l’instant le pays hôte, l’Afrique du Sud, au Mozambique.

Rabat et Abidjan déterminés à promouvoir la coopération dans le domaine militaire

Le ministre d’État, ministre de la Défense de la République de Côte d’Ivoire, Téné Birahima Ouattara, a été reçu, vendredi à Rabat, respectivement par le ministre délégué marocain chargé de l’Administration de la Défense Nationale et le Général de Corps d’Armée, Inspecteur Général des Forces Armées Royales (FAR).Au cours de cet entretien, les deux parties ont passé en revue diverses questions dans le domaine militaire visant à promouvoir les relations entre le Maroc et la Côte d’Ivoire et à consolider les liens d’amitié et de coopération militaire entre les deux pays, indique un communiqué de l’État-Major général des FAR

Les deux ministres ont exprimé leur satisfaction quant au niveau atteint par les relations de coopération bilatérale dans le domaine militaire, particulièrement par les diverses actions de formation et d’échanges d’expériences et d’expertises, précise la même source.

Le ministre d’État ivoirien a salué la pertinence de la stratégie multidimensionnelle sous l’impulsion du Roi Mohammed VI pour faire face aux défis sécuritaires de la région privilégiant la coopération sud-sud et le lancement de projets d’intégration régionale et de construction progressive de la sécurité sanitaire de notre continent, souligne le communiqué.

Dans la même journée, le Général de Corps d’Armée, Inspecteur Général des FAR, a reçu M. Ouattara, accompagné d’une délégation, au niveau de l’État-Major Général des FAR.

Les entretiens ont porté sur le bilan de la coopération militaire bilatérale. Une coopération qui englobe l’échange de visites d’information et la participation aux différents entraînements et stages de formation, conclut le communiqué.

Afrique du Sud: les violences ont été planifiées (Ramaphosa)

Les scènes de violences et de pillages en Afrique du Sud ont été planifiées et fomentées par des personnes anonymes, selon le président Cyril Ramaphosa.« Les instigateurs de ce chaos avaient été identifiés et seraient bientôt arrêtés », a-t-il promis.

Cyril Ramaphosa s’exprimait ce vendredi 16 juillet 2021 lors d’une visite à Durban, dans le KwaZulu-Natal, afin d’évaluer l’impact des récentes violences et du déploiement des forces de sécurité, notamment 25.000 soldats.

« Il est tout à fait clair que tous ces incidents de troubles et de pillage ont été fomentés. Des personnes ont planifié et coordonné tout cela », a poursuivi M. Ramaphosa, estimant que les agents de sécurité du pays auraient pu mieux faire face aux violences et aux pillages qui ont entraîné l’arrestation de 1478 personnes et la mort de 117 autres dont 95 dans le seul KwaZulu-Natal.

Selon lui, ceux qui sont à l’origine du chaos seront poursuivis et que le gouvernement « ne laissera pas l’anarchie et la pagaille s’installer dans notre pays ».

Le Chef de l’Etat sud-africain a indiqué que de nombreuses entreprises sont fermées et que les gens font la queue pour obtenir des produits de première nécessité.

RCA : la crise sécuritaire a encore aggravé l’insécurité alimentaire

C’est désormais la moitié de la population qui se trouve en situation d’insécurité alimentaire, soit un tiers de plus que l’année précédente.

 

En République centrafricaine après l’offensive menée en début d’année par la coalition rebelle de la Coalition pour le changement (CPC) et repoussée aux portes de Bangui, la capitale, c’est désormais la moitié de la population qui se trouve en situation d’insécurité alimentaire, soit un tiers de plus que l’année précédente.

En Centrafrique plus de 70% de la population vit et dépend de l’agriculture pour sa subsistance dans les zones rurales selon la FAO. Avec la crise sécuritaire, la plupart des paysans n’ont pu travailler au champ cette année. Nous sommes actuellement en pleine période de soudure, les ressources de l’année précédentes sont épuisées, la prochaine récolte sera très mauvaise et la famine guette. Les humanitaires du Programme alimentaire mondial (PAM) et de la FAO tirent la sonnette d’alarme et organisent des distributions de semences et de vivres à la population,

Dans la cour de la mairie du 7e, les sacs de semences déchargés des camions passent de main en main. Des dizaines de personnes attendent patiemment. Vêtue d’un gilet jaune, Arlette Alègnè tient les comptes : « Dans ces sacs, il y a le riz, les courges, le maïs, les haricots et les outils pour cultiver avec. »

Pénurie

La saison des pluies a déjà commencé. Plus que quelques semaines pour semer. « Bien que nous soyons dans une usine, c’est un quartier agricole, explique Joseph Tagbaley, maire du 7e arrondissement. Beaucoup de crises, cela suppose qu’il n’y a pas eu assez de cultures, beaucoup de semences manquent. Donc la position n’est pas florissante. »

L’offensive rebelle a bloqué les voies d’approvisionnement et l’accès aux champs pour les paysans. Desiré Arsène Fedivo de l’ONG Groupement des femmes agro-pastorales (Groufepa), pose la question : « La majorité de la population, qui vit des produits agricoles, s’ils n’ont pas le temps d’aller aux champs, à la pêche, à l’élevage, que vont-ils manger à la maison ? »

Le pays subit donc une pénurie et une flambée des prix, car 70% des denrées sont importées. La situation est bien plus dramatique dans l’intérieur du pays, où il y a 730 000 déplacés. Les humanitaires tentent de leur venir en aide mais l’accès reste très difficile.

Politique, culture et migration au menu des quotidiens marocains

La solidarité du Maroc avec les pays en difficulté, la reprise du secteur culturel et la migration clandestine, sont les principaux sujets traités par les quotidiens marocains parus ce vendredi.Ainsi, +Aujourd’hui le Maroc+ écrit que la solidarité avec les peuples frères et amis est devenue un “leitmotiv” dans l’action du Royaume sous la conduite de du Roi Mohammed VI, notant que dans le monde arabe ou bien à l’échelle continentale, les multiples initiatives royales font du Maroc « un symbole de la solidarité et de l’action humanitaire ».

Aujourd’hui, l’envoi sur décision royale d’une aide médicale d’urgence à la République tunisienne, après la détérioration de la situation épidémiologique dans ce pays maghrébin frère, reflète les valeurs de solidarité, ancrées à jamais dans l’ADN d’un peuple et de son Roi, souligne-t-il.

Sur un autre registre, +L’Opinion+ indique qu’après les librairies ouvertes au public depuis quelques mois déjà, les cinémas reviennent peu à peu à la vie et les salles de théâtre commencent à résonner des trois coups du brigadier qui annoncent le début du spectacle.

Certes, les rencontres ne font pas encore le plein, mais l’espoir est au rendez-vous d’une vie culturelle « normale », sans restriction de fréquentation ni mesures particulières de protection et de prévention des risques de propagation du virus, nuance le journal, constatant que les débats littéraires reprennent timidement autour des nouvelles parutions.

+Al Ittihad Al Ichtiraki+ rapporte que des garde-côtes de la Marine Royale, opérant en Méditerranée et en Atlantique, ont porté assistance durant la période allant du 10 au 14 juillet 2021, à un total de 344 candidats à la migration irrégulière à majorité subsahariens, dont des femmes et des enfants et qui étaient en difficulté à bord d’embarcations de fortune.

Selon une source militaire, les personnes secourues ont reçu les premiers soins à bord des unités de la Marine Royale, avant d’être acheminées vers les ports les plus proches du Royaume puis remis à la Gendarmerie Royale pour les procédures d’usage, précise-t-on de même source.